lieu de pureté et d'abandon

Sujet: lieu de pureté et d'abandon 18.11.08 21:20

Le blanc. Voici la seule souleur que l'on pouvait trouver en ces lieux de plainitude. Les murs, les colonnes, les fenêtres ainsi que tout miroir présent. Absolument tout était orné de blanc et d'argent. Après un siècle passé ici, je m'y étais habitué. Et pourtant, le vide je ressentis. Je ne voyais plus la même chose depuis ce fameux jour où je sus ce qui c'était réellement passé. Malgrè tout, je voulais venir ici avant de partir pour un endroit totalement inconnue à mes yeux. Personne n'était là, j'étais seule. La solitude ne me dérengeais guère mais me rendais triste pour une quelconque raison. J'avais peur. Peur de rester seule sans personne à chérir, personne à aimer, personne à qui me confier. Puis j'entendis un bruit de pas de mon banc où j'étais assise, le visage caresser par les doux mouvements du vent. Je ne bougeais pas, je me doutais de la personne arrivante.

- Pourquoi venir ? J'ai pris ma décison, je veux vivre avec les humains. Je veux découvrir cette vie en harmonie avec toutes sortes de race. Je veux commencer une nouvelle vie, dans laquelle je me sentirais en paix.

- Ne te trouves-tu pas en paix dans cet endrooit magnifique ? me demanda l'oracle de ce paradis. Ne crois-tu pas qu'il n'ya pas plus merveilleux monde que celui-ci ?

- Essayez-vous de me dissuader de partir, mon oracle, poursuivis-je en le fixant intriguante. Je veux vivre la vie dont aurait voulu ma soeur et je suis sûre qu'elle avait raison au sujet du monde humain. On se cesse de découvrir, et la vie doit être plus intéressante que d'être bercer de blanc pendant des siècles.

- Je n'essaie pas de t'en empêcher au contraire, je souhaite te voir heureuse, je ne veux dissauder personne de vivre sa voie. Je te souhaite seulement de trouver ce que tu cherches, déclara-t-il en se levant et marchant dignement.

Ses ailes étaient si belles, si pures. Elles n'avaient jamais été salies ou même baigner par une quelconque marque de souillure. Il était si bon, plein de gentillesse. Je ne doutais jamais de sa parole, c'est pourquoi je me leva. Mes ailes si blanches et si éblouissantes que je risquais de perdre en cotyant des humains. Je les admirais, je ne perdrais pas cette seule chose commune que j'avais avec ma soeur.
Je serrai le collier. Ma soeur faisait partis du passé, je devai me relever et vivre hereuse, c'était ce que ma soeur aurait aimer. Je me tourna et partis. J'allais décider par moi-même vivre par moi-même et choisir ma prorpre voie.

Une nouvelle vie m'attendait en bas et j'étais excitée à l'idée de découvrire de nouvelle chose, me faire de nouveaux amis. Bien sûre, je serais un peu perdue au début, je n'avais pas d'affaire à emmener ou très peu. Ma façon de m'habiller sera un peu différente mais au fond, je resterai la même : celle qui a toujours crus en autrui. J'étais heureuse. Place à la Terre.