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Sujet: Re: Je suis Ariel, mais sans la queue. 20.08.12 21:37
BAM! Bam? Mauvais signe. Si ça ne faisait pas boom c’est qu’il y avait eut réception collatérale. Non, pas dommage collatéral. C’était… différent. Mais ne cherchez pas à comprendre. L’important étant que la gargouille eut soudainement l’envie de disparaître momentanément. Quelques instants. Et puis, pourquoi pas, ça faisait longtemps qu’il n’était pas allé se promener. Ailleurs. Loin. Enfin pas trop non plus. Au revoir Capucine. Ce serait temporaire mais vous ne voudriez jamais voir un prêtre en colère. Ces petites bêtes hargneuses. Incisives. Bruyantes. Un peu comme les caniches. Voilà, comme celui-là qui aboyait frénétiquement à son approche pendant que sa maîtresse tentait désespérément de l’excuser et de le calmer en même temps. Hey. Il ne lui avait rien fait à cette bestiole. Il l’ignora donc et passa son chemin. Tranquillement. Et pas discrètement.
De la pierre dans la nature. Ou son équivalent. Un parc plutôt ordinaire. Un truc banal avec des humains ordinaires. Ça faisait changement, de ne pas les entendre se plaindre. Prier. Pleurer. Quoique… à voir la tête de certains d’entre eux…
Le sujet principal. Revenons donc à notre histoire. Ça faisait un bon moment qu’il se promenait dans le parc. Pour ne pas dire qu’il tournait en rond ici et là. Surtout par là bas. Il était déjà passé devant ce banc. Ce banc vide. La deuxième fois, il ne l’était plus et n’en fit pas grand cas. Il l’ignora. L’anomalie dissimulée parmi les êtres de chair. Et la deuxième anomalie sur son banc. Mais plus important quel était l’intérêt de cet endroit? À quoi servait-il exactement? Un peu de verdure, un brin d’aventure? Non. L’ennui. Voilà. Les humains essayaient d’oublier l’étiolement de leur vie. Autrement. Différemment. Le chant. Au troisième passage derrière ce banc. Oui, derrière. Inutile de suivre éternellement les routes et les allées. Donc, notre banc toujours occupé. Par quoi? Aaron jeta un regard en coin vers la créature. Vers ce qu’il ne pourrait définir autrement que par une anomalie. Une Différente. Il ne s’attarda pas à l’objet métallique entre ses doigts. Quelques pas encore, pour s’éloigner. Pour continuer. Avant de simplement s’arrêter dès les premières paroles de la chanson.
Une statue dans la nature. Une gargouille qui n’avait pas l’oreille musicale. Une voix qui ne le fit pas rêver. Pas frissonner. Ce n’était pas ça. C’était… les paroles. Il ne connaissait pas et pourtant… Le passé était revenu à son esprit. La pluie. Sa nuit. Ça lui correspondait bien, bizarrement. Alors, cette fois, il fit demi-tour pour revenir vers le banc. Pas discret et pas timide. Il s’approcha du banc et s’y appuya pour observer un peu mieux la créature qui s’y trouvait. Le bois cria. Il se plaignit du poids soudainement imposé sur ses pauvres épaules. De cet homme penché au dessus de cette femme. Et… Il attrapa la fourchette après avoir reconnu le dit objet.
« Je ne m’y connais peut-être pas trop mais je suis certain que ce n’est pas fait pour les cheveux. »
Hum? Avait-il interrompu la chanson? Était-ce vulgaire ou impoli? Ce genre de pensée ne faisait pas parti de son esprit. Il agissait, c’est tout. Et c’était vraiment curieux de se brosser les cheveux avec… ça. Non? Évidemment. Même une gargouille était au courant. Inutile de mentionner qu’il fut un temps où ce n’était pas le cas.
« C’est normalement utilisé pour se nourrir. Enfin…»
Les humains du moins s’en servaient pour cette activité qui leur était vitale. Un truc inconnu pour lui mais il avait néanmoins pu l’apprendre, au fil du temps et des années. La gargouille déguisée en homme tendit la fourchette vers sa propriétaire. Autant la lui rendre. Après quoi il fit le tour du banc pour venir s’y asseoir. Oh, pauvre, pauvre petit banc de bois. Il était lourd, hein? Enfin pas tant que ça. Il ne se briserait pas. Enfin… Il n’était pas abimé le banc, n’est-ce pas?
Une fois bien installé, Aaron passa en mode semi-immobilité. Le parc sous un autre angle. Maintenant qu’il y pensait, il aurait dû s’asseoir plus tôt. Mais bon, elle était là. Il s’était imposé à elle. Et ça ne le dérangeait absolument pas.
Une grande gargouille sur un banc. Une anomalie à ses côtés. Un bois peut-être trop vieux. Un caniche vraiment hargneux. Mais pourquoi revenait-il vers lui en courant comme ça? Oh. Misère.
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Sujet: Re: Je suis Ariel, mais sans la queue. 21.08.12 11:53
Aaron
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Sujet: Re: Je suis Ariel, mais sans la queue. 21.08.12 17:04
Les humains. Prétendre les connaître serait peut-être un peu trop. Exagéré. Il avait fini par comprendre certaines choses sur ces créatures adorées par Dieu. Mais il ne savait toujours pas pourquoi Dieu lui-même les appréciait autant. Ils étaient faibles et généralement bêtes. Enfin passons. Répondons simplement à la question.
« Oui et non. J’en sais suffisamment pour savoir que je n’ai pas envie de me vautrer dans leur vie. »
Le rire. Il la regarda enfin. Vraiment. Pas juste vaguement. Il tourna la tête lorsqu’elle se mit à rire. Cette chose inconnue. Avec son sourire. Menace zéro. Enfin, il fallait toujours se méfier paraît-il. Enfin, ça ce serait pour les gens qui avaient peur. Lui ne s’en souciait guère. La peur était humaine après tout. « Il n’est pas vivant alors non. Il ne peut pas éprouver ce sentiment envers moi. Il doit juste être trop vieux…»
Aaron posa sa main sur le banc, juste à côté de lui. Entre elle et lui. Et le banc se remit à se plaindre. Visiblement oui, le problème venait de la gargouille.
« … et je dois être trop lourd. »
Le nom. De l’anomalie. Il apprécia momentanément qu’elle lui en donne un. Qu’elle en ait un plutôt que cinq. Les humains et leur nom à rallonge, vous vous souvenez? Quoique la créature fit une chose très humaine en lui tendant la main. Hm? Il baissa les yeux vers cette dernière avant de se relever du banc. Pour le soulager de son poids. On aurait presque pu entendre le soupir notre cher bois. « Je suis Aaron. Et ne t’inquiètes pas, tu n’as pas besoin de faire ces choses humaines avec moi. Je n’en ai jamais vu l’intérêt de toute façon. Ils sont bizarres. »
Le caniche. La Bête! Le monstre blanc qui venait de débouler à pleine vitesse. Il était passé à côté de lui pour s’écraser quelque part sous le banc. Une fusée. Une furie. Un animal hyperactif qui ne tarda pas à ressortir de sa cachette comme d’un clown de sa boîte. En temps normal, parce que la gargouille aussi avait ses temps ordinaires, les animaux l’ignoraient. Tous. Il n’était qu’une statue. Un objet. Le décor. Alors pourquoi est-ce que ce caniche à ressort faisait une telle fixation à son sujet?
Ne manquait-il pas quelque chose? Un CRACK! dans le bois. Un caniche qui se prenait pour une toupie. Tout autour de lui. Et une gargouille au cœur de pierre. Dans son enveloppe de chair. Hm. Maxime?
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Sujet: Re: Je suis Ariel, mais sans la queue. 21.08.12 19:18
Aaron
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Sujet: Re: Je suis Ariel, mais sans la queue. 21.08.12 21:48
Et les deux qui se font la guerre. Vainqueur : Maxime. Le caniche venait de s’écraser comme un perdant par terre, se prenant soudainement pour un ver de terre. Ah, là, au moins il n’accordait plus autant d’attention inutile à la gargouille. Aaron tourna la tête vers la femme sur le banc. Plutôt pratique son petit truc. Pleine de fierté aussi. Toujours souriante… encore. Ça semblait facile pour elle. Remerciements. Ou pas. Ce n’était pas dans sa nature de dire merci dans une telle situation. Il aurait fini par ignorer la petite bestiole sans trop s’en soucier mais… Pour la peine, il revint s’asseoir à côté d’elle sur le banc. Bien sûr, ils eurent droit aux grincements habituels. Sérieusement, ce truc n’allait pas tenir encore longtemps. Le silence. Avec un brin de je-m’en-foutisme. Juste un brin. Parce qu’il la regardait toujours. Confortablement assis, la tête tournée vers le visage souriant. En dehors du fait qu’elle était une anomalie, différente des humains. Elle avait quelque chose de… bizarre. Dans un sens étrangement positif. « Pourquoi souris-tu? »
Capucine. La Belle. Elle lui revenait à l’esprit de manière brutale. Violente. Ça faisait longtemps, à ses yeux du moins, qu’il l’avait quittée. Délaissée. Peut-être devrait-il rentrer. La gargouille tourna la tête pour observer le parc. Inconscient du présage de mort à ses côtés, sur qui tomberait l’épée? Pour qui sonnerait le glas? Cet homme qui faisait un peu de jogging? Ou la mère qui surveillait ses enfants. Ou peut-être cette femme qui accourait vers eux. Pour revenir chercher son caniche. La dame s’excusa encore et encore, s’inclinant toujours. Pas de doute, elle gronderait encore la pauvre bête dès qu’elle serait plus loin. « Je dois ren----trer. »
CRACK! La gargouille avait bougée! C’était sa faute! Il avait de nouveau posé la main sur le banc, juste entre eux. Il avait voulu se relever en tenant le rebord et s’était un brin déplacé. Tu pourrais au moins faire attention à ta force, idiot! Tu le fais pourtant bien à l’église. Résultat : le banc se fendit en deux, en plein centre.
L’art du rapprochement. S’ils avaient été dans une situation romantique peut-être. Mais ce n’était absolument pas le cas présentement. Ils se retrouvèrent néanmoins tout à coup plus près l’un de l’autre. Malgré eux. Ce qui importait présentement à Aaron, c’était le fait d’avoir détruit son fauteuil provisoire. Et celui de Maxime aussi au passage.
Twister nouvelle version. Allez relevez-vous maintenant. Essayez du moins. Et, accessoirement, vous avez l’air un peu fou. Sincèrement. Les rires ne sont pas fictifs. Ils sont étouffés. Discrets. Ils tournent la tête lorsque vous essayez de les regarder. Humains moqueurs.
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Sujet: Re: Je suis Ariel, mais sans la queue. 21.08.12 23:31
Aaron
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Sujet: Re: Je suis Ariel, mais sans la queue. 22.08.12 0:17
Le romantisme de la pierre. La froideur. L’absence même de cœur. Juste la pierre. Solide. Fixe. Imperturbable. Cela résume assez bien la tête que fit la gargouille lors du baiser. Enfin le pseudo-contact fugace des lèvres de Maxime contre les siennes. Il ne savait pas trop ce qu’il était censé ressentir. Devait-il se passer quelque chose de spécial? Ce n’était qu’un contact tactile. Sans émotion. Comme le fait de se serrer la main lors d’une rencontre. Typiquement humain. Non?
L’accident du destin. De sa main qui avait brisé le banc surtout. Il s’était retrouvé dans une position plus ou moins précaire, le cul par terre. Maxime s’était retrouvé étrangement entre ses bras. Ses mains à lui posé par terre. Il avait juste évité de l’écraser de tout son poids comme il avait pu et… Voilà. Situation bizarre que d’entendre le tsunami que fit leur scène parmi les murmures des humains.
La surprise. Un peu. Tout de même. Enfin, c’est ce que pensèrent les gens qui les observèrent. Aaron était resté assez immobile. Alors quoi de plus simple que d’associer cette vision à la surprise? Au choc. Mais rien de tel. Juste lui qui n’y voyait rien d’extraordinaire. Rien de dérangeant. Rien d’anormal. Ce furent les paroles de la femme qui remirent la statue en mouvement.
« Faux. C’est toi qui a ramené tes lèvres sur les miennes. »
La responsabilité. Et HOLA les mains. Toute la responsabilité de ce contact humain revenait à Maxime. Mais ce n’était pas si important d’accuser telle ou telle personne de ces circonstances accidentelles. Même si le monstre n’eut pas de réaction lors du bisou, il en eut tout de même plus lorsque les mains de l’anomalie se mirent à parcourir la basse partie de son corps. À l’aveugle. Sans arrière-pensée. Ni dans sa tête, ni dans la sienne. Une étincelle le long de sa colonne vertébrale.
« Hey. Non! Attends. Pas par là, c’est douloureux dans cette zone. »
Mauvais souvenir. D’une rencontre lors d’une certaine nuit. Entre lui et… lui. L’autre. Un déplaisant petit oisillon déchu qui avait trouvé de bon ton de le frapper entre les jambes. Le traumatisme du premier contact. Le traumatisme de la douleur associée à cette zone. Il ne pourrait pas ressentir autre chose par là, n’est-ce pas? Alors ne touches pas.
La gargouille prit donc les poignets de Maxime pour les écarter de lui un peu. Rien de méchant mais il fallait se préserver. Se protéger. Il tenta ensuite de bouger avant d’abandonner l’idée. L’idée de lui tenir les deux poignets. Alors, au final, pour pouvoir se relever, il faudrait quand même la lâcher.
Sans romance et sans tabou, le premier bisou. Sans accusation et sans malaise. Sans amour et sans rancœur. Deux créatures horriblement pures. Qu’ils sont mignons. Ah. Ces jeunes couples de nos jours. Disent les humains. Mais n’est-il pas un peu froid? Son compagnon. Pauvre petite chose. Elle devrait en changer. Que de vilaines pensées. Si... humaines.
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Sujet: Re: Je suis Ariel, mais sans la queue. 27.08.12 20:30
Aaron
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Sujet: Re: Je suis Ariel, mais sans la queue. 28.08.12 15:44
Son rire, encore. Elle se moque, n’est-ce pas? Elle passait son temps à sourire et à rire. De tout, de lui peut-être. Pas qu’il s’en souciait plus que ça. Mais quand même, à force… Il y avait de quoi se demander si elle se fichait de sa gueule ou si elle était juste… bizarre. Folle peut-être. Quoique la folie puisse être une source de curiosité, ça n’en restait pas moins chiant à gérer. À appréhender.
Folie tactile. Un bisou. Un autre. Un deuxième sur son front. Il ne comprenait pas. Et le peu de compréhension qu’il avait était en train de disparaître petit à petit. Avalé par le néant de la confusion que génère Maxime. Tu es un trou noir en fait? Il resta immobile jusqu’à sentir ses mains dans les siennes. Ah. Oui. Il se releva, sans toutefois mettre de pression sur les mains. Inutile de faire forcer et suer la pauvre fille juste pour se remettre sur pieds.
« Agréable? Je suis plutôt habitué à entendre des trucs comme "t’es chiant". »
Enfin… pas tant que ça non plus. Ce n’était pas quotidien. Mais l’emplumé qui avait traumatisé son entrejambe lui avait mentionné à quel point il était désagréable. Bon, après, c’était peut-être aussi parce que la gargouille l’avait agressée. Ce n’était pas important, passons.
Les excuses. Il regarda Maxime lorsqu’elle parla. Tout ça pour en venir à lui demander pardon. Pourquoi faire? Elle ne lui avait pas fait mal. Elle ne l’avait pas frappé. Elle avait juste réveillé un souvenir qui n’avait rien à voir avec elle. « T’excuses pas. C’est juste un mauvais souvenir de quand on m’a frappé. Rien d’important. »
Mais c’était totalement traumatisant quand c’était votre première fois. Quand c’était le premier contact que cette partie de votre corps avait connu. Vécu. La douleur. Bref, revenons donc à la réalité. Il avait brisé lamentablement un banc. Et donc, avant de partir, il devrait au moins compenser en lui en trouvant un autre. Un plus solide, espérons-le.
« Je crois qu’il y a un autre banc là-bas. Dans cette direction. »
Il pointa vaguement. Très vaguement. C’était où déjà? La gargouille se passa une main sur la nuque. Hm. Bon, en marchant ils retrouveraient sûrement. C’était dans le parc de toute façon. Quelque part. Allez, en route. Notons toutefois qu’il lui avait lâché les mains depuis belle lurette. Et que maintenant, il était en train de les mettre dans ses poches.
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Sujet: Re: Je suis Ariel, mais sans la queue. 28.10.12 14:37
(ce post est petit, et nul. le retard m'a tapé l'arrière du crâne ce matin.)
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Sujet: Re: Je suis Ariel, mais sans la queue. 01.11.12 16:56
Kidnapping de son bras. Un simple regard vers la partie kidnappée… sans aucun autre mouvement si ce n’était l’incompréhension qui tournoyait dans son cerveau. Quel était l’utilité et l’intérêt de s’appuyer ainsi? Avait-elle peur de tomber? Il devrait prendre le temps de lui en parler mais elle prit la parole en premier.
Couleur préférée. Question incongrue et inattendue. Pas le genre de choses qu’il entendait à tous les coins de rue. Pire que ça, on ne lui avait jamais posé cette question bizarre. Était-ce important? Était-il censé avoir une préférence colorée?
« Je n’en ai pas. Pourquoi cette question? » Il fit une courte pause pour lui laisser le temps de répondre avant de simplement rajouter. « Tu en as une, toi? Ça t’apporte quoi? »
Tact et diplomatie… …ne faisait pas partie de sa vie. Ce qui signifiait que le ton pouvait parfois être brusque et les mots mal choisis. Comme dans le cas présent où il ne comprenait pas que Maxime voulait seulement faire la conversation. Lancer un sujet comme ça malgré quelques difficultés de sociabilité. Autant dire tout de suite qu’elle était mal tombée face à un tas de pierre aussi doué qu’elle pour ces choses.
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Sujet: Re: Je suis Ariel, mais sans la queue.
Je suis Ariel, mais sans la queue.
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