Le temps ne prêter pas à bon goût. Disons pour moi, ce temps me plaisait horriblement. Les gouttes d'eau s'écraisaient sur mes joues tandis que mes yeux admiraient le ciel avec une certaine nostalgie. La pluie était assez violente. L'impact de l'eau sur ma peau me provoquait des petits picottements. Mais je restai là, à penser comme je le faisais fréquemment.
Ma paupière se ferma brusquement suite au contact d'une goutte dans mon oeil. Ma tête se pencha légèrement vers l'avant et mes cheveux me cachaient le visage. Mes pas me portèrent sans vraiment faire attention où j'allai. Ne connaissant pas les alentours et n'ayant nul part où rentrer, je marchai. En réfléchissant, rêvant. Je repenser au passé, à tout ce qui c'était passé si vite.

<< La pluie est si... agréable >> pensai-je.

Le bruit, l'odeur, tout me plaisait en cette pluie si grise et si froide.
Je m'arrêtai un instant, les arbres, les herbes hautes, les plantes avaient disparus.

<< Je me suis peut-être un peu trop éloignée >>

A la place de toutes cet verdure avait pris place des routes, des bâtiments et des poteaux abîmés, délabrés. Cet endroit me paraissait abandoné. Personne ne devait être venu ici depuis longtemps.
Je repris ma marche tout en regardant ce qui se trouvait autour de moi. Des maisons détruites auxquels je ne savais rien de leur origine, des routes fissurées par je ne sais quels engins ou choses. Des poteaux électriques longées le sol, je les contournai simplement. La pluie ne se calmait pas, au contraire, au fur et à mesure que j'avançai, les fils d'eau qui me tombaient dessus étaient de plus en plus violents, difficiles à supporter.
Après quelques minutes incessantes de marches acharnés à la recherche d'un endroit où m'abriter, je finis par arriver devant un bâtiment en mauvaise état.

<< Une église >>

Cela faisait longtemps que je n'avais pas eut la chance de pouvoir entrer dans une église. Même si elle était en ruine, je rentrai. Mes yeux contemplèrent les vitraux qui étaient cassées chez certain et encore en état dans d'autres. La grande pièce centrale me laissait perplexe. Des bancs étaient installés de part et d'autre de la pièce tandis qu'un autel était situé au centre du fond. Des gravures d'coraient le plafond et le fond de l'église derrière l'autel. Bien sûre les bancs étaient tous cassés, et je ne pris le risque de me retrouver au sol en l'espace de quelques secondes. Je m'avançai, toujours aussi curieuse de parcourir les moindres coins de cet espace, et mes yeux virvoltairent à chaque pas que je faisais. Je m'agenouilla ensuite devant l'autel, recitant une prière.

<< Comme autrefois, mon Dieu, je vous en supplis,... >>

Mes paroles résonnèrent dans la pièce. Mes mains entrelacées, ma tête baissée, je poursuivais ma prière.
La nostalgie refis surface en mooi comme une vague se formant lentement en une énormé et puissante. J'étais partie du paradis et je ne comptai pas y retourner mais j'espérais que Dieu ne m'en veuille pas pour cet acte égoïste.

Un long silence s'installa pendant que je me remémorai tout ces souvenirs. Puis je me releva mais me figea immédiatement. Des pas. Des pas résonnaient plus loin. Dehors, l'impact des chaussures dans des flaques d'eau puis sur le sol. La porte grinça, je n'osai pas me retournai. Des yeux me fixaient mais je ne pouvais rien faire, c'est comme s'il me paralysait. Mes membres se retournèrent doucement pourtant, et je pus apercevoir ces yeux rouges sang qui me scrutait.

Du haut de sa tour, le Comte Dracula scrutait les horizons du domaine des ténèbres. Certes la nuit était agréable mais elle ne valait en rien celle de chez les hommes. L'ambiance y est différente et la lune n'en est que plus éclatante. Car si il y a bien un astre que Dracula adorait, c'était bien la lune... C'est alors que le vampire ce remémora son aventure dans les rues de Londres et de Paris, ces villes endroit préféré. Il adorait errer dans les rues a la recherche de sang, qu'il trouvait assez facilement d'ailleurs. C'est ainsi que le Comte décida de rendre une petite visite a ses charmants sac de viandes d'humain. Il grimpa sur le plus au remparts de son château et se mit sur son bords. Un étrange vent faisait balloter sa cape noire. Le Comte prit une grande inspiration et ferma ses yeux rouges avant de se laisser tomber dans le vide. Il resta en l'air quelques instant avant de déployer ses ailes de chauve-sourie, qui ressemblaient plus a celles de démon qu'autre chose. Mais qu'importe puisqu'il était pire qu'un démon...

C'est en volant que Dracula traversa le domaine des ténèbres en direction de la ville des humains. Au fur et a mesure qu'il s'approchait des humains, le temps se gâtait. C'est alors que la pluie commença a tomber sur la terre, de plus en plus fortement. Ne désirant nullement continuer a voler dans ses conditions inconfortable, Dracula préféra se poser. Un fois au sol, ces ailes disparurent aussi vite qu'elles sont apparu. Les gouttes d'eau tombait sur son visage, et coulait sur sa longue cape.
Dracula regarda les alentours, il ne vit que décombres et autres maisons délabrées. Assez étonné, mais surtout déçu de ne trouver aucun signe de vie ici, Le Comte s'enfonça un peu plus dans cette étrange partie de la ville humaine...

Après quelques pas, le regard de Dracula s'arrêta sur une vielle église en ruine. A ce moment précis, il ressentit de la haine naitre au fond de lui. Mais celle ci s'estompa quelques peu et laissa place a de la moquerie. Un être aussi maléfique que lui entrer dans la maison du traitre Seigneur... Vraiment c'était le comble de l'ironie, et cela plaisait au vampire. Ce dernier leva la tête et regarda vers les cieux, un sourire moqueur naquit sur ses lèvres laissant entrevoir l'une de ses canines, Comme si il voulait que Dieu regarde ce qu'il allait faire. Après cela, le Comte se dirigea vers l'église.
Arrivé devant la porte, il sentit une étrange présence a l'intérieur. Le vampire sourit et poussa la porte...
Devant lui ce tenait une bien étrange personne qui apparemment était sensible a l'aura démoniaque que le Comte dégageait. Les lieux frémissait même de recevoir un tels démon. Les yeux rouges de Dracula se posèrent sur cette étrange personne et, tout en s'approchant lentement d'elle, il dit de sa voix calme et posé:

- Ne vous rabaisser a de telles futilité... Il ne vous entendra pas...

Arborant un sourire machiavélique, Le Comte Dracula s'arreta a quelques mètre de la belle inconnu et la fixe de ses yeux rouges.

- Ne vous rabaisser a de telles futilité... Il ne vous entendra pas...

Alors que l'homma s'approchait de moi, je reculai inconsciemment de quelques pas. Je ne savais pas ce qu'il me voulait et encore moi ce que voulait dire ce sourire machiavélique sur ses lèvres. Une peur se dessina sur mon visage malgré le fait que je voulais le cacher. Au fur et à mesure que je reculai, lui avançait. Il avait l'aire d'être fière de l'effet qu'il provoquait sur moi. Je regardais les alentours, ne sachant pas quoi faire. Puis je m'arrêtai. L'homme se stoppa aussi, surpris que je ne fuiya pas.
Je n'étais pas formée pour le combat et n'avais que très peu d'expérience pour le corps à corps. Pourtant, cet homme me faisait peur, je n'avais pas l'habitude de croiser d'autre race mise à part ceux de mon espèce. Cette personne ne faisait pas partie des humains ni des anges. En le regardant de plus près, il ressemblait à...
< Son sourire laissa apparaître une de ses dents pointues >
un Vampire !
Mes yeux s'écarquillèrent et mon expression de marbre repris sa forme d'origine. Celle de la peur. Mais je ne bougeai pas, lui faisant face.
J'avais peur certe, mais j'étais aussi fasciné par cet homme qui ne ressemblait en rien à tous ceux que j'avais rencontré jusqu'à présent. Je le scrutai tout autant que lui me fixait. Mes ailes blanches se rétractèrent et je me frustrai un peu plus à chaque instant. Voulait-il mon sang ?
Allait-il me tuer ?
Ces deux questions tournèrent dans ma tête comme l'effet d'un boomerang, elles réapparaissaient sans cesse. Et soudain, une question que je n'avais pas imaginer avant arriva comme une évidence.
Allais-je perdre mes ailes ?
Mes ailes si blanches allaient-elles devenir grises ? Ou noires ?
Pendant je réfléchissais à tout ça, l'homme avait eut le temps de se rapprocher de moi. Je le fixai, n'ayant aucune expression particulière, je dirais un mélange de diverses émotions comme la peur, l'angoisse, la fascination et la curiausité. Lui continuait de me fixer avec ses yeux si rouges profonds que je me laissai m'y plonger sans prendre garde alors qu'il continuait, peu à peu, à se rapprocher. Je ne bougeai pas.

Les yeux ensanglanté du Comte était rivés sur la magnifique femme devant lui. Cette derniere semblait avoir peur de lui, elle avait bien raison.... Voir ses yeux emplie de peur suscita chez le Vampire un plaisir sadique, d'un coté il trouvait sa hilarant car la réaction de chaque individu restait la même mais en gardant un coté nouveau, une "touche personnelle" si on puis dire... L'inconnue reculait au fur et a mesure qu'il avançait. Dracula s'arrêta quand elle ne pouvait plus reculer, et la fixe d'un regard étrange mais envouteur. Tout le danger de ce Vampire ne résidait nullement dans ses crocs mais bien dans son regard... EN fixant l'inconnue, il ne pouvait s'empêcher de sourire, laissant ainsi apparaitre ses canines qui trahissait son identité. D'ailleurs, Dracula pu remarqué que la peur de cette belle jeune fille ne cessait de s'amplifier a la vue de ses crocs.
Encore plus amusé, Le Comte nota quand même que cette fille n'avait rien d'humaine, il pouvait le sentir... Elle n'avait pas les sentiments qui caractérisait les humains, mais surtout... Son sang n'avait pas la même odeur.

Même si elle ne montré guère expression sur son visage, Le vampire pouvait lire dans ses yeux comme dans un livre ouvert. Ses yeux rouges fixait les yeux étrangement purs de l'inconnue. Leur regard s'entremêlèrent alors, ce qui était le début de l'hypnose de Dracula. Il est simple d'y résister si on a un esprit assez fort, mais la tentation est si douce que bon nombre de personne s'y sont jeter a coeur ouvert...
Imposant mais toujours aussi élégant, Dracula s'arrêta a quelques mètres de la jeune fille, qui semblait dégager une pureté si...alléchante. Mais la soif du vampire était largement supportable pour l'instant, c'est pourquoi il préférait d'abord en savoir un peu plus sur cette belle inconnue. Toujours immobile en face d'elle, ces yeux rouges se tournèrent vers la crois a moitié détruite qui se dressait derrière elle.
Une inquiétante lueur anima les yeux du vampire a ce moment là et il ne pu s'empêcher de sourire, un sourire a la fois cynique et mélancolique. Soudain, sa voix calme s'éleva doucement, brisant le silence apparent des lieux...

- Bon nombre sont ces fous croyant en lui. Ils ne savent pas encore quelle sottise les animent...

Son regard revint aussitôt croisé celui de l'inconnue, il affichait un air naturellement intriguant. Puisque l'heure n'était pas a la restauration, pourquoi ne pas se "détendre" un peu en compagnie de cette belle jeune fille... C'est alors qu'une idée lui vint en tête, une idée si sombre qu'il ne pu se retenir de sourire.
Il prit alors un air hautain mais charmant et adopta une posture droite et élégante. Ces long cheveux tombant dans son dos, son visage clair comme une pleine lune fraichement exposé. Son expression était charmante et douce, qui aurait pu croire qu'un monstre tels que lui pouvait avoir ce visage là ? C'est alors que sa voix transperça le silence...

Allons n'ayez crainte...

Son regard devenait captivant, le Comte faisait tout pour qu'elle se sente en confiance, son regard l'aidait a sa tache. C'est alors que Dracula s'inclina tout en disant:

- Je suis le Comte Dracula... Que fait une aussi belle personne que vous en ces lieux ?

Le comte affichait toujours se leger sourire, peut être arrivera t-il a s'amuser un peu avec sa nouvelle rencontre...

P.S: desoler j'étais pas trop inspiré....

Le Comte Dracula...
Son regard captivant m'envoutait ainsi que son sourire des plus élégant. Je me laissais porter par ses yeux si rouge, si profond. Des yeux comme ceux là, on en voyait pas tout les jours. Pour ma part, c'était la première fois, voilà pourquoi son effet était si fort. J'étais hypnotisée par ses iris couleur rubis et je ne pouvais m'en détacher... malheureusement...

Je ne savais si je pouvais lui faire confiance ou non, son sourire si sadique lors de nos premiers regards et puis, ce sourire, maintenant, plus qu'attirant. Il était magnifiquement beau et ses longs cheveux d'ors lui allaient si bien. Ceci faisait ressortir encore plus ses superbes prunelles rougeâtres.
Et moi, qui ne savait que faire. Je décidai malgré tout de lui répondre.

- Ce que je fais ne vous regarde pas, affirmai-je d'un ton sec. Et vous ? Pourquoi venir ici alors que, d'après votre allure, vous n'avez pas l'aire de vous promenez dans ce genre d'endroit.

Mes jambes n'avaient pas bougées. Je décidai de lui faire face. Un sourire encore plus charmeur apparue sur son visage. Il semblait attendre quelque chose.
Je le fixai, toujours plus intriguée alors qu'il s'approcha de nouveau lorsque je fus un pas vers l'arrière. Je me sentais de plus en plus attirée par lui. Pourquoi ? Il avait un tel effet. Avait-il le même sur tous le monde, ou bien était-ce moi qui était tellement fasciné par ses gestes ainsi que par son regard ?
Je ne pouvais plus faire de pas en arrière, la croix derrière moi m'en empêcher. Mes yeux regardèrent vivement mais revinrent rapidement sur leur point d'origine.
Le regard du vampire était encore plus rivé dans le mien et son sourire s'en trouva encore plus étincelant.
Aucune issue n'étais possible, malgré toute la peur qu'il me procurait, j'étais assez satisfaite qu'il n'y est aucune sorite mise à part celle par où nous étions rentrer tous les deux. Alors que je le regardai avidement, je décidai de laisser place à ma curiausité.

- Êtes-vous un vampire ? demandai-je l'aire intrigué, les yeux rivés sur cet étrange personnage.

Malgré le fait que je savais parfaitement la réponse, je voulais m'assurer qu'il sache que je n'étais pas dupe.

- Comptez-vous faire de moi votre victime comme bien tant d'autres humains ?

Peut-être arrivai-je à lui faire croire que je n'étais qu'une simple proie facile et faible. Rien de bien amusant.

[PS : t'en fais pas, je compte sur toi pour faire mieux au prochain ;-) et puis le miens non plus n'est pas super désolée u_u, j'attends de voir ce que tu vas faire cher Comte Vlad Dracula ^^]