The Lord of Darkness
ADRIAN E. SCHNEIDER
IDENTITÉ
▬ Nom : Schneider▬ Prénom : Adrian Emerick▬ Origines : St Empire Romain Germanique (père autrichien - mère suisse ) ▬ Âge : Âge apparent une quarantaine d'années environ... mais soufflera bientôt ses 560 bougies !▬ Date de naissance : Le 29 Décembre 1708▬ Habitude(s) / Manie(s) : ▬ Phobie(s) / Crainte(s) : ▬ Devise : Le pouvoir grise. Le pouvoir enivre. Le pouvoir aveugle. Le pouvoir corrompt. Le pouvoir... l'aphrodisiaque suprême. ▬ Groupe souhaité : Vampire ▬ Métier/Occupation : P.D.G de Schneider Company et Actionnaire principal de nombreuses entreprises... ▬ Rang personnalisé : The Lord of Darkness
LE PRINCIPAL
ENTRETIENT AVEC UN VAMPIRE R L e soleil était sur le point de disparaître derrière les plus hautes tours de la capitale. Ma montre indiquait '' 18:00 '' et la trotteuse continuait sa course folle. C'est avec appréhension que je me dirigeais vers l'entrée du bâtiment récemment inauguré. Un vieux quartier avait été démoli pour la construction de ce nouveau centre de dynamisme. Épuré. Moderne. Élégant . Ce furent les trois termes qui me virent en tête. Je me sentais de plus en plus mal à l'aise. Le service de sécurité était digne de la Maison Blanche durant les belles années des USA. Je m’engouffrais en toute hâte dans un des ascenseurs. Ces derniers étaient vitrés et offraient une vue imprenable sur l'intérieur comme sur l'extérieur du bâtiment. Les portes s'ouvrirent sur ce qui semblait être le dernier étage. Une secrétaire siégeait devant un magnifique bureau en acier, aux courbes ondulées. La jeune femme était plutôt jolie... si on mettait de côté son expression froide et fermée. Cette dernière posa ses yeux sur moi. C'est tout en souplesse que la jeune femme se leva et désigna un siège. Ces derniers devaient coûter une fortune... peut être le prix de mon loyer... voire de mon ancien salaire…« Mr Schneider n'est pas disponible pour le moment. Je vous prierai de patienter ici un moment. Je suis à votre entière disposition si vous désirer quelque chose. Mettez vous à l'aise. » M es yeux suivirent ses mouvements et je me contentai de hocher bêtement la tête. Son professionnalisme était légèrement effrayant. Les minutes se mirent à défiler. Soudain les portes de l'ascenseur s'ouvrirent, laissant apparaître un homme en costume. Son regard balaya la pièce, passant de la secrétaire à moi-même. Il m'adressa un sourire et s'installa à coté de moi. Sa cravate était légèrement défaite. Il avait dû courir. Ses cheveux étaient légèrement en bataille. « Bonjour ! » L e nouveau venu venait de m'adresser la parole. J'en fus légèrement surpris mais je lui rendis la politesse. Sans en connaitre la source exacte, je sentais une étrange nervosité me gagner. « Vous êtes là pour le poste de chercheur ? » U n large sourire étira ses lèvres. Son visage était avenant. Il était chaleureux contrairement à la secrétaire froide et professionnelle. Je lui rendis son sourire. Néanmoins le mien fut quelque peu crispé. Une multitude de questions fourmillait dans ma tête... mais je me voyais mal lui poser ces dernières de but en blanc ! Ses grands yeux candides reflétaient une innocence touchante qui perça mes dernières lignes de défense. « ... Je peux vous posez une question ? » F ace à ma question, mon vis-à-vis pencha légèrement la tête sur le côté. Ses sourcils formèrent un arc interrogatif. Une seconde s'écoula. Je me sentais vraiment ridicule voire honteux. Un nouveau sourire éclaira son visage et il étouffa un rire.« Oh ! Vous avez dû entendre de terribles histoires pour me poser cette question en premier lieu ! » U n sourire vraisemblablement amusé se dessina sur ses lèvres. Il se tourna vers moi. On aurait pu croire qu'il s'apprêtait à me faire une confidence. Sans me rendre compte, mon corps avait lui aussi légèrement pivoté. La secrétaire nous lança un regard détaché et retourna à ses tâches.« Quelle genre de rumeur avez-vous entendu murmurer ? » M on visage s'empourpra de honte. Me voilà en train de commérer sur mon potentiel futur employeur. « Certaines rumeurs laissent penser qu'il n'est pas humain. » S on visage redevient sérieux. Il hocha la tête de haut en bas. Mon estomac se noua. Je n'avais jamais collaboré avec pareille créature. Mon entourage se limitait aux humains et en de rares occasions aux hybrides. « Mais n'aillez aucune crainte ! Il n'a jamais croqué ses employés... enfin jusqu'à maintenant... » M on visage afficha une moue penaude et je remontais mes lunettes. Mon vis-à-vis me tapota l'épaule comme pour m'encourager à me détendre. Sa sollicitude était agréable. Il retrouva rapidement son enthousiasme. Cet homme avait une personnalité stimulante voire rayonnante. « Voulez-vous que je vous conte son histoire ? Vous avez suffisamment de temps avant votre rendez-vous... » M on vis-à-vis me lança un regard mi-curieux mi-amusé. Il s'installa confortablement dans son siège... et je fis de même. Ces fauteuils étaient diablement confortables ! On prend rapidement goût aux bonnes choses...« Son histoire commence bien avant sa naissance... » S a voix dissimulait une légère tension et une autorité inflexible. Je fis non de la tête et le laissa continuer.¤oOo¤
G « Bien. Comme je le disais son histoire commence bien avant sa naissance. Nous sommes aux alentours de 40 après J.C. Rome. Son architecture antique était la quintessence de cette glorieuse époque. Imaginez ses gens vêtues de toges et parés de magnifiques bijoux ! Le temps des Césars ! Une très belle époque... mais également redoutable et dangereuse. Quintus Clemens Aquila était un fier légionnaire romain. Sa famille faisait partie de la petite noblesse. Cette dernière bénéficiait donc de privilèges mais également de devoirs. Quintus devait servir dans la Légion avant de se lancer dans la politique au sein du Sénat. Un grand honneur pour tout citoyen romain ! Le jeune homme fut envoyé loin au Nord. Des contrées sauvages et inconnues. Ce nouveau monde était porteur de promesses. Mais il y eut une terrible bataille entre les indigènes et les légionnaires romains. Cette dernière fit de nombreux morts dans les deux camps. Les cadavres jonchaient le sol où leur sang était entièrement mêlé à la boue. Les survivants étaient rares et la plupart étaient blessés. Quintus était encore conscient mais il avait de nombreuses blessures dont une sévère à la jambe. Cette dernière était suffisamment grave pour lui ôter tout espoir de servir une nouvelle fois l'Empire sur un champ de bataille. C'est à cet instant que ses yeux bleus se posèrent sur elle ! » J e regardais mon vis-à-vis. Ce dernier observait au loin dans un silence pesant. Je me raclais la gorge en espérant ne pas me montrer trop insistant. Il se tourna à nouveau vers moi et me jeta un rapide coup d'œil. Son visage esquissa un sourire avant de devenir grave. Il toussa comme pour éclaircir sa voix. Cette dernière oscillait entre un ténor puissant, mordant et une voix basse chantante. Une belle voix assurément qui laissait transparaître un lointain accent.« Son nom était Lamia. C'est ainsi que cette créature se nommait à cette époque. Une espèce de démon aux formes lascives, ondoyantes presque serpentines. Un monstre avide de sang et de mort. Un instant Quintus fut complètement captivé par cette vision. Sentant le poids de son regard, la créature s'est déplacée vers le légionnaire blessé. Les légendes sur ces créatures étaient des plus inquiétantes dans la Rome Antique. Le légionnaire a essayé de se dissimuler en se faisant passer pour mort. Mais cette tentative fut un échec. Cet acte scella son destin ! Lamia planta ses crocs dans son corps. Le soldat, sous la douleur, lutta comme il put avec son glaive. Les ténèbres eurent finalement raison de lui. Un sombre souvenir le mena à penser qu'il avait mortellement blessé la créature. Est-ce son sang qui humectait ses lèvres ? Quintus ne le sut jamais. Il se traina hors du champ de bataille. Une légion le retrouva aux portes de la mort. Il trépassa peu de temps après être arrivé au camp de la légion. Mais son histoire ne s'acheva pas ici. Alors qu'un linceul immaculé le recouvrait... Quintus se réveilla ! Comment expliquer son réveil à la légion ?... et qu'elle était cette douloureuse sensation de brûlure ? Je vous aurais bien dit un mal de gorge... Je ne vais pas vous mentir la suite est beaucoup plus drôle et surtout colorée... du moins de rouge. Un véritable adorable et modeste carnage. Une légion entièrement décimée par un seul homme. Il serait le seul survivant... et Rome accueillerait son retour comme un miracle. Quoi de plus beau ? Il était devenu un Vampire. » M on conteur me laissa quelques instants pour digérer les informations. Cet homme trouvait ce carnage... adorable. Où diable étais-je tombé ? Comment le président pouvait-il être aussi vieux ? Mes mains se mirent à trembler. Des sueurs froides commençaient à recouvrir mon front. « Comment a-t-il survécu jusqu'à aujourd'hui ? » U n sourire se dessina sur son visage. Ce dernier était doux et empli de bienveillance. Comme celui que des parents offrent à un enfant innocent qui pose une question tout aussi innocente.« Quintus Clemens Aquila a disparu durant de nombreuses années... et ce n'est qu'un personnage secondaire mais dramatiquement important à notre histoire ! Nous sommes en 1755 en Italie durant la Renaissance ! Du moins la fin de cette belle période. Depuis quelques années des fouilles avaient été entreprises au pied du Mont Vésuve. Un pionner en la matière œuvrait à répertorier les pièces exhumées. Il était toujours heureux de parler avec les apprentis ou même les habitants des environs. Sa soif de connaissance n'avait pas de limite et son amour pour partager ses découvertes était également sans commune mesure. Il était au service de Roque Joaquin de Alcubierre, un ingénieur archéologue. Malheureusement les opinions divergeaient... notamment sur le soin apporté aux pièces découvertes. Les techniques de fouille étaient des plus déplorables ! On détruisait les pièces jugées indignes d'être exposées. On remblayait les édifices fouillés après les travaux. Notre érudit en question était consterné par ces pratiques. Cela le révoltait sans commune mesure ! Tellement qu'il se révolta contre son supérieur. Ce dernier avait beaucoup d'influence et surtout une renommée auprès du nouveau roi de Naples. Notre ami se fit donc renvoyé et discrédité aux yeux de ses pairs. Il devient rapidement un paria. Mais sa dévotion, son amour et son respect pour le passé attira l'attention d'une personne... Ou plutôt d'une créature singulière. » ¤oOo¤
C A drian Schneider avait passé sa soirée à boire dans la taverne du village. Il avait sans nul doute un peu forcé sur la bouteille… du moins les bouteilles ! Noyer son amertume dans l'alcool était une vilaine manie chez cet homme. Ce dernier errait dans les ruelles de la ville telle une âme en peine. Il vagabondait en direction de son auberge quand sa vue se troubla. Son corps amorça un basculement. Aucun choc avec le sol. Ce dernier avait-il disparu sous ses pieds ? Adrian releva le visage pour observer la personne qui le soutenait. Cette dernière était grande et terriblement belle... enfin beau plutôt ! Un homme au visage doux et aux cheveux blonds comme les blés. Son regard azur était ampli de... pitié. Notre homme ne le supporta pas et se dégagea vivement. Je ne vous veux aucun mal. Je voulais simplement vous remercier. C e mystérieux inconnu parlait un latin légèrement différent de celui que pratiquait notre érudit. Ce dernier fut intrigué ! La curiosité était sans doute son plus gros défaut ! Ils s'installèrent sur un banc de pierre. Adrian commença à lui poser une myriade de questions. Les heures défilèrent et l'aube allait bientôt se lever sur ce monde.Qui êtes-vous bon sang ? Comment pouvez-vous en savoir autant sur cette époque oubliée de tous ? J'ai tout simplement vécu à cette époque. Vous vous moquez ! Je vous prierai Monsieur de ne pas me prendre pour un sot ! Je vous assure que mes paroles sont vraies. Je ne suis pas soumis aux mêmes lois que vous. Etes-vous un dieu ? Un immortel ? Immortel peut-être. Un dieu je crains que non... un démon sans doute. L e prétendu Immortel observa ses mains. Il semblait voir quelque chose qui échappait complètement à Adrian. Ce dernier était de plus en plus curieux et dans un même temps déconcerté. Il aurait voulu arrêter le temps et en apprendre plus sur cet homme hors du commun.- Je pourrai arrêter votre temps si tel est votre désir. A drian cligna des yeux totalement abasourdi. Venait-il de lire dans ses pensées ? Un faible sourire se dessina sur le visage de son vis-à-vis. Un frisson parcouru le corps de notre érudit. Il se leva et recula de quelques pas. Le sourire de l'inconnu se fana et ses yeux se teintèrent d'une étrange tristesse.- Je vous effraie. Vous m'en voyez désolé. Ce n'était en rien mon intention. A drian se sentit étrangement mal. Il était blessé de savoir que sa réaction avait meurtri le jeune homme. Un étrange lien était en train de se tisser entre les deux hommes. Lentement Adrian vient se rasseoir à ses côtés. Comment pouvez-vous arrêter mon temps ? En faisant en sorte que vous soyez comme moi. Est-ce possible ? Que devrais-je faire en échange ? Quelle seront les contreparties d'un tel avantage ? En premier lieu... la douleur. Ensuite la mort... toujours la mort. Je ne comprends pas ?! Comment me préserver de la mort si je suis entouré par la mort. L 'Immortel n'eut même pas besoin de répondre. La phrase avait franchi ses lèvres que déjà Adrian avait une petite idée sur la question.Je ne peux tuer des gens ! Même pour avoir un tel privilège ! C'est inhumain ! Comment faites-vous ?! ... Je ne suis plus humain... et j'essaye autant que possible éviter de tuer des êtres innocents. Mais vous êtes amené à tuer. L e blond observa son vis-à-vis. Son visage était soudainement dur et terriblement effrayant. Notre érudit déglutit avec difficulté mais ne revint pas sur ses propos. Il n'avait nul envie de s'excuser. Cet affrontement silencieux dura quelques minutes. Ils finirent par détourner tous les deux leur visage. Souhaitez-vous voir quelque chose que nul n'a encore vu ? S a curiosité fut piquée à vif ! Adrien accepta avec un entrain retrouvé. Le jeune homme le conduisit dans un tombeau romain. Les yeux de notre érudit se mirent à briller d'un éclat sans précédent. Il observa, toucha, analysa la moindre parcelle de pierre, de gravure, de peinture. A qui appartenait ce tombeau ? A moi-même... et je ne me moque pas de vous ! S 'empressa-t-il d'ajouter en voyant les sourcils du chercheur se froncer...¤oOo¤
[CENSURE]
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A « Adrian Schneider avait perdu son humanité. Il faisait partie de cette race que l'on nomme aujourd'hui Vampire. » J e regardais mon vis-à-vis avec de grands yeux écarquillés ! Il avait sauté un chapitre essentiel ! Il était dans le tombeau mais comment était-il devenu un Vampire ? Cet érudit ne semblait pas prêt à perdre son âme alors pourquoi un tel revirement... Les questions se bousculèrent dans ma tête et je les énonçais en toute hâte sans prendre la peine de les trier. « Je vous donne les pièces du puzzle... à vous de les rassembler ! Si je devais détailler chaque ligne de son histoire cela perdrait de son charme et de son mystère ! En plus je ne peux résumer plusieurs siècles de vie ou non-vie selon votre appréciation en quelques minutes ! » J e bougonnais sur mon siège. Il me racontait des parties sans importance et éludait des passages essentiels !« Bien... nous sommes dans les années 2000 ! » - son visage exprima une étrange et incroyable tristesse - ... suite à un important différent ils se sont affrontés. Schneider a donc continué seul. Il a investi son argent dans des entreprises. Il semble avoir un don particulier pour trouver les filons ! Au début il a misé sur les nouvelles inventions comme les automobiles ainsi que le pétrole. Sentant que le vent tournait dans les années 20, il a investi dans l'armement et le médical. Si vous ne le savez pas... les deux vont de pairs. Dans les années 80 il a investi dans les technologies de pointe. Il a ainsi commencé a amasser une petite fortune. Ca n'apparaissait pas dans le top 10 des fortunes mondiales car Mr Schneider a le credo de l'anonymat. C'est sans doute ce qui lui a permis de vivre aussi longtemps... ainsi que son intelligence naturelle. Il avait une identité pour chaque entreprise, chaque investissement. Comme les français le disent si bien '' les petits ruisseaux font les grandes rivières. ''. Même si pour Mr Schneider on pourrait plutôt parler de fleuve. Toujours est-il que durant le nouveau millénaire, il l'a rencontré : la Femme. » U n sourire tendre éclaira son visage le temps d'un court instant. « Son nom était Irina. Une jeune femme qui venait de fêter son trentième anniversaire. Née américaine et russe. Une jeune femme a la vivacité d'esprit rare et pourvu d'un sacré caractère ! Comme vous pouvez vous en douter elle était belle. Une merveille en réalité. Des courbes charmantes qui faisaient chavirer le cœur de nombreux hommes. Sa voix était magnifique. Elle se produisait dans les bars pour le plus grand plaisir de tous. Une passion. La jeune femme travaillait dans un hôtel luxueux en tant que réceptionniste. A l'origine elle avait fait des études d'art pour travailler dans les musées. C'est en descendant dans cet hôtel que Mr Schneider la rencontra. Sa curiosité était de nouveau en éveil. Il voulait étudier et comprendre chaque mouvement de son corps, chaque note de sa voix mélodieuse... » S es yeux se voilèrent un instant. Je n'en comprenais pas la raison sur le moment.« Par le plus grand des miracles, Irina était aussi curieuse que Adrian à son sujet. Après plusieurs entrevues et grâce à sa finesse, elle comprit qu'il était différent. Il ne voulait pas la perdre et il en fit donc une Vampire. Leurs sentiments ne changèrent en rien bien au contraire. Bien sûr exprimer de la sorte cela fait fleur-bleue ! Mais toute histoire a ses taches noires... » S a mâchoire se crispa. Il ne me regardait pas mais fixait le mur avec une intensité inquiétante. Ses prunelles chocolat avaient des reflets rouges. On aurait dit qu'il était prêt à commettre un meurtre. Comme s'il avait perçu mon malaise naissant, il secoua la tête et me regarda droit dans les yeux.« Vous voulez peut-être que j'arrête avec mes histoires à dormir debout ?! » I l m'adressa un sourire en remerciement.¤oOo¤
M « A la veille de fêter ses 160 ans... Irina tomba malade. Une maladie qui se propagea en elle telle la peste. Ils étaient dans le parc à New-York quand le médecin appela pour faire part de ses résultats. Il faisait beau. Un printemps parfait. Cancer. Cette maudite maladie était en train de la tuer lentement et silencieusement. C'est le seul mal que les vampires craignent à cause de leur régénération cellulaire... » S es poings se serrèrent et j'en devinais la cause.« Adrian Schneider s'en ait longtemps voulu. Il était son créateur. Il était la cause de sa maladie. » E n temps normal je ne suis pas une personne qu'on peut qualifier comme optimiste. Au contraire. « La troisième guerre mondiale a été déclarée. Les anges ont débarqués sur Terre. Une pagaille qui selon moi est toujours à l'ordre du jour ! Même si toutes sortes de créatures sont sorties des ténèbres, Mr Schneider aime son anonymat. Il laisse les rumeurs courir tout simplement. » V oilà une affirmation. Une conviction au fond de moi. Ses mains s'enchevêtrèrent. Je remarquais de légères rides aux coins de ses yeux. Il semblait plus âgé en cet instant. Il était fatigué mais une étrange détermination brillait dans ses yeux.« La maladie progresse mais moins rapidement grâce aux traitements. Mr Schneider s'est laissé aller durant quelques temps à la tristesse et surtout à la faiblesse en apprenant la nouvelle. Mais le désespoir peut être un moteur incroyable. Il a tout investi dans des entreprises pharmacologique, nano-technologique, cybernétique. Tout ce qui pourrait aider son espoir. Voilà pourquoi il veut vous engager. » J e venais de m'emporter. Je m'étais levé et gesticulais comme un beau diable. Tout ça parce que mes confrères avaient des œillères. Ils ne voulaient pas faire avancer la science. Une voix me sortit de mes sombres souvenirs.« Mr Schneider va vous recevoir. Si vous voulez bien me suivre. » L a secrétaire se tenait à coté de moi et s'avança vers la porte qui se trouvait au fond de la pièce. Elle tourna la poignée et me pria de m'avancer. Une boule dans la gorge je fis un pas en avant. Je me retournais pour saluer mon compagnon d'attente et sans doute pour lui présenter des excuses silencieuses. Il n'était plus là. Sans doute avais-je été vexant à m'emporter de la sorte contre lui. Je pénétrais dans le bureau du directeur général. La porte se referma derrière moi. ¤oOo¤
V L a pièce était immense et lumineuse. Spacieuse et très peu meublée. Un bureau central en verre. Des sièges. Un tapis. Les grandes baies vitrées offraient une vue imprenable sur la ville. Il y avait un ascenseur. Il devait donner sur les appartements privés du Directeur situés aux étages supérieurs.« Vous savez... vous pouvez être terrifiant quand vous vous mettez en colère. » M es yeux localisèrent la voix maintenant familière. Il était là depuis le début. « Anonymat vous ai-je dit ! Cela peut-être d'une grande utilité pour faire passer des entretiens... » I l contourna le bureau de verre et s'installa dans un des sièges.« J'ai besoin de vous et de vos travaux. Je me fiche sincèrement que vous ne soyez plus enseignant dans une faculté ou dans un centre de recherche officiel. Je vous veux avec moi. Vous allez travailler pour moi. Vous aurez carte blanche. » S es yeux étaient rouges sang. Voilà quinze ans que je travaille pour cet homme. Mes recherches ont demandé le sacrifice de nombreuses vies. Quand des personnes deviennent gênantes... elles disparaissent. Je me souviens du jour où il a envoyé des mercenaires pour '' envoyer ses salutations '' à un certain Wendigo trop curieux. Je me souviens du jour où ces mêmes mercenaires sont revenus les mains vides. We are each our own devil, and we make this world our hell. ET TOI ?
Pseudo : Sukai-ChanAvatar : Je le présente sérieux ? Tony Stark ou Robert Downey Jr au choix (hey ouai !)Comment avez vous connu le forum ? Grâce à une licorne =3Suggestions / Remarques ? ... pardon pour la longueur ><Autres ? Je vous aime mes petits sucres =3
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▬ Humeur Zazaresque
▬ Topics Par là Sssserpent pssssychotique.
Je sens qu'on va bien s'entendre toi et moi.
Non, sérieusement. T'as conscience que si on s’allie, ça sera l'apocalypse ? *rire de méchant très méchant* Oui, je me suis sentie obligée de te
valider avec Lazar.
The Lord of Darkness
Ô Lazar ! Que dirais-tu de signer un deal ?!
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▬ Profession Tacticien FSR ~ Hacker
▬ Fiche James Bond. Tacticien
*lit tranquillement*
:amazed:
*arrive à la fin*
:planning:
Mais c'est moi Wendigo ! Nooooon ! Tout est de ta faute.
*file s'assurer que son passé ne le rattrapera pas*
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Mais darling il faudra bien nous rencontrer tôt ou tard...
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