les routes sont sinueuses, les chemins tortueux , les sentiers irisaient . Il y a des voix dans ma tête que je n'explique pas , est-se la folie ? Qu'on lui coupe la tête qu'on lui coupe la tête. Je n'arrive pas à partir , comme si même pour moi ma mort était un spectacle . Sur mes joues à aucunes larmes ne coulent . Je suis horriblement froide, sans sentiment. les cartes virvoltent, le décor bouge autour de nous. C'est la fin , je ferme les yeux lentement . Un rosiaire de promonsé implore Dieu d'être clément avec moi . Je ne suis pas un ange, ma vie n'est pas un écrit pieux. Slache , et c'est toujours à ce moment que je me réveille en sueur. Mes doigts recherchent désespérement du soutient mais ils sont seules, démunis. Dans la chambre il fait noir, mais une chaleur mélancolique se dégage de mon corps. la Nuit venait juste de naître, chassent le jour jaloux. Je me suis levée pour regarder se qui se passer dehors. Un bruit de fête battait son plien. Un grande foule de différentes races grouillaient sous mes fenêtres. Tout se que je détestais, du paisir , de la communion ,du bonheur. Pour moi je ne voyaient que des charognes pourrissent dans une niaiserie infecte. j'avais envie devomir devant un tel rassemblement. Puis je me suis calmée, j'ai appaisé la colère qui avait en moi. J'ai enfilé une roble blanche et bleu , plutôt jolie d'après mon jugement.

Spoiler:

Sur le palier il y avait la concierge qui tout d'abord me regarda d'une manière bizarre, puis m'adressa séchement la parole:

" - Petite sotte se n'est pas le style de la maison de faire crédie !!! J'attend mon argent sinon je vous envois au trous avec vos froufrous !!!

- Oui madame je suis désolée, vous aurez vos deniés au plus vite ... "

je ne lui ai pas demandé mon reste, m'éclipsent le plus vite possible. Il fallait que je trouve un pigeon à plumer sinon je me retrouvais à la rue avec les chiens. Sur les lieux de l'agitation je me rendis compte que c'était un cirque. Tout ce bruit pour cela, Les gens s'amusaient d'un rien . Je voulus repartir mais quelque chose attira mon attention. La musique, Les couleurs chatoyentes me donnaient envie de chanter. Il est vrais que j'étais un Clover, et même en rejettant farouchement le vrais moi " chasser le naturel, il revient au grand galop " . Par une maîtrissse exptionnel de ma personne, je réussis à ne pas m'exiber en public . Mais se fut au prix de grands efforts et de courages. Etant perdu dans ma pensée je ne m'étais pas rendu compte que je m'étais laissée emporter par le fleau de personnes. C'est une drôle de sensation quand on est bercé par la foule. Des odeurs âcres, douces, fortes se mélangent. des peaux étrangères se touchent sans le vouloir. C'étais pour moi inssupportable et pourtant pour d'autres si agréablent. Assez j'avais eu ma dose de relationnels pour un petit moment. Mais c'était sans compter sur le destin ,double irritable :

" - Un problème mademoiselle? "

Tout les poiles de mon corp s'irrissèrent. Mon Dieu c'était qui lui et qu'est se qui me voulait ? La parite paranoïaque de ma personne pencha pour le viole, l'autre plus raissonnable voyait en cette homme le moyen idéale pour se faire un peu d'argents. En levant le yeux au ciel, je me dis que j'étais vraiment folle. Bah en plus un HOMME, les êtres que je détestaient encore plus que le autres. Pour ne pas lui faire peur, J'ai essayé qu'esquiser un sourir cependant sans grand succé . qu'est se que j'allais lui dire à ce pingouin. Une peur vicérale s'empara de moi. Dans l'adrémaline de l'instant ,j'ai bousculé l'homme en prenant son portefeuille. Puis je suis partis en courant. Il allait tout de même pas me suivre l'idiot, en tout cas c'était pas le style de la personne .

" - tatatata tatatata, tatatata; tatatata , tatatata ! Prend garde à ta tête Ai, elle va tomber ! "


Brusquement je me suis retournée. Rien. Le silence s'installa dans la rue. Mais qu'est se que j'avais fait au bon Dieu pour mériter cela ? Prudemment je me remis à harpenter le coupe gorge. J'avais horriblement honte et l'envie d'aller retrouver cette homme et de m'excuser était grande. Mais qu'est se que je faisait de l'orgeuil, cette puissance terrassente. Ma conscience fulminait, à tel point que je mis mes mains sur mes oreilles pour la faire taire. Une grosse larme coula sur ma joue. Où en étais-je arrivée ? Cette mélodie des jours sucrés s'en était allée loin, comme un échos que l'on ne pouvait attrapper. Mes mains ont glissé le long de mon visage, sillonnent les creux de la pauvreté extérieur mais aussi intérieur. Mais qu'est se qui m'arriver ? Il ne fallait pas ; jamais regretter , jamais se retourner, ni sapitoyer. En titubant je suis arrivée à la fin de la rue. Mon regard c'est porté vers le sol puis l'horizon. Une lumière douce baignée le fond. C'était comme des fantômes qui se seraient perdus entre deux rives, des âmes égarés.


" -Mince il est tard ! Vite avant que la vielle s'endort ! "

Mes jambes par instinct de survie se sont remises à courir. Mais une mauvaise surprise m'attendais, il était là. Et puis surtout il ne m'a pas fait de cadeau. Poussée violament contre le mur, il commença à baragouiner quelque chose :

" - Veuillez excuser ma brutalité mais un voleur est un voleur. Ne pensez pas que je vais me permettre de prendre des gants avec vous, même si vous êtes une demoiselle. "

j'eu l'occation de mieux voir la victime. Il devait avoir le même âge que moi, il était grand , les yeux et cheveux noir . Il était drôle avec son air désolé. Tellement que je me mis à rire. C'était visérale :

" -Désolé vous me faite rire , désolé ... "

Un sourire rayonnent s'afficha sur mon visage. Je ne voulait pas d'histoire , je sortis alors le porte-monnais de ma poche :

" - tenait il faut me pardonner, la misère fait faire des choses impensable ! "

Un léger vent effleura mon visage.Un soupçon de surprise se peint sur mon visage. Qu'était- il ? En lui se dégager quelque chose de sur humain, un doux parfum acré de mélancolique. Comme le peuvent que ceux qui ont croisé Dante en enfer. Ce monde regorgé de créatures mystérieuses, c'était une bulle hermétique aux railleries d'un univers pervertie. Peut-être pouvait-il alors existait d'autres Clovers? Cette question me bouleversa intérieurement et me fit revenir à la réalité. Un sourire hypocrite s'affichait sur son visage de mon interlocuteur. Cette question me bouleversa intérieurement et me fit revenir à la réalité. " L'homme " m'adressa un sourire hypocrite, puis un baisse main remplit de vanité. Son image me renvoya à de la littérature infantine. J'avait l’impression d'être Alice invitait malgré elle par le Chapelier à son " non anniversaire " . Mais à l'inverse son alter-égo, ce Chapelier faisait beaucoup plus peur. Il y avait quelque chose de diabolique chez lui . Peut-être que le roi des démons me l'envoyait pour me punir de mon insolence ? un frisson parcoura tout mon corps. Cette être était le plus abominable que je n’avais jamais rencontrer. J'étais bien naïve de croire qu'un jour enfin il me laisserait tranquille. De plus se n'étais pas ma faute cette accident . Comment pouvais-je le prévoir ? Je n’étais pas voyante ! Bref, revenons à nos affaires. Le chapelier m'interroga sur un point puis sur un autre:

- La misère ? Si je puis me permettre, au vu de votre toilette vous ne me semblez pas en grand besoins financier. Il est en effet rare de posséder des vêtements d'une aussi belle qualité.

- Veuillez me pardonner, je manque à toutes mes obligations. Je me nomme Sebastian Skylight. Pourrais-je avoir l'honneur de connaitre votre nom ?

je mis un doigt en dessous de ma bouche et pris réelllement un air surpris. C'était la première fois que l'on me posait une telle question. Peut-être n'était pas un envoyé du roi des démos. Il paraîssait ne vraiment pas me connaître, mais méfiance. Dans ma courte vie je n'avais jamais été autant déstabilisé cas cette instant :

- euh ...

Comment expliquer à un inconnu toute sa souffrance en quelques mots. C'était comme vouloir se couper toute seule les ailes. Bien que j'avais déjà essayé de le faire. Ainsi je n'étais sit qu'enfin on pourrait m'aimer. Autant être franche avec lui , j'en avais marre des convention débile que la société mondaine imposer aux gens :

- je m'appelle Ai Tomoko, je suis enchantée de vous connaître.

J'ai du coup vif enlevé le châle qui recouvrait mon dos, laissant apparaitre l'objet de toute mes souffrances :

- Et oui je suis une Clover ! Une espèce bâtarde entre l'ange et l'hybride ! Ceci expliquera peut-être vos interrogations. Toute les misères ne sont pas extérieurs. Certaines sont aussi intérieurs. Mais vous vous êtes pas humain si je ne m'abuse ? Nous sommes donc à égalités sur ce point. Que faite vous dans la vie , vous sucer le sang des gens ou vous les saintifiez ? Car si moi je suis bien habillée, vous n êtes pas en reste niveau élégance !