Encore une journée des plus barbantes comme seul ce satané professeur d'anglais savait donner... Saoulant... Crevant... Imcompréhensible... et tout ça pendant deux heures l'après-midi! Heureusement, ils n'avaient pas été assez sadique pour mettre des heures juste après. La cloche sonna le glas du cours ainsi que la journée, mais je ne l'entendis pas, endormi sur ma table comme une souche, ne l'attendit pas. C'était une chose que j'avais attendu depuis deux heures pourtant. Ma gentille camarade de classe, Makoto, essaya de me réveiller avec sa douceur naturelle, mais comme d'habitude, elle n'y arriva pas, mon sommeil étant aussi lourd que profond. Mon professeur, ayant vu la scéne, s'approcha de ma table avec un sourire sadique. Il avait préparé un seau d'eau, me connaisant comme si j'étais sa propre fille, et me balança le contenu sans aucune gêne.

"GAAAAAAAAAAH!!!"

C'est dans ce cris de guerre à déchirer plusieurs tympas que je me suis réveillé, tout en tombant de sa chaise. Le professeur déposa le seau à mes pieds.




En finisant sa phrase, le professeur eut un rictus sur les lèvres et retourna à son bureau préparer les tortures de son souffre-douleur que je suis.





Je regardais Makoto et rougis légérement. Mon coeur battit plus vite et ma respiration accéléra encore plus, cette fille allait me rendre chèvre un jour, je ne savais pas quel était ce sentiment, mais elle comptait beaucoup pour moi, la voir sourire me donne le sourire à mon tour.

"Oh ce n'est rien Mako-chan, je n'arrive pas à dormir ces derniers temps."

De ses grands yeux noisettes, elle me fixa intensément avec inquiètude. Je l'a trouvé tout à fait charmante comme ça.

"Ni-chan, tu veux que je fasse une partie de tes devoirs?"

Alors que j'allais répondre par la négation, une groupe de filles percuta Makoto en courant.





Makoto baissa la tête, fixa le sol en rougissant. Elle avait toujours été compléxé par son surpoids la pauvre, les costumes scolaires pour les filles sont une saleté de jupe, révélant les jambes, ce qui l'a compléxé encore plus et ses espèce de petites péteuses n'arrangeaient rien, au contraire, elles l'enfonçaient encore plus. Sans plus attendre, je lui aggripait le bras pour lui infliger une clé et l'a rabattre au sol. Ses poufiasses de copines sortir des bar de fers de je ne sais où et s'approchairent de moi.





Elles abattirent leurs armes sur mon corps et chacune d'entre elles se brisérent au contacte de mon corps. Effrayé par ce phénoméne, elles firent tomber leurs armes brisées par terre et coururent au loin. La petite peste que j'avais immobilisé se débatter mais resta bloqué sous ma pression.




Sans plus attendre, je me levais et elle fuit à tout allure. Makoto se précipita vers moi en courant.

"Oh ça va Nikayo, tu ne t'es pas fais mal?"

Je n'osais pas relevé la tête, elle avait vu comment on finit les armes. Fixant mes pieds je lui réponds :



Mon coeur rata un battement dans mon coeur puis je me mis à courir comme les grluches de tout à l'heure. Pendant la course, mes pieds m'emmenant là où ils voulaient, plusieurs questions se fit dans ma tête... Comment allais-je lui expliquer ça? Ce genre de chose arriver souvent... Ma peau étant dure et froide comme du béton armé... Aucun ne peut faire ça, aucun!



Après plusieurs minutes de course, je m'arrêtais, à peine essouflé. Elle devait surement me prendre pour un monstre maintenant... En regardant autour de moi, la nuit était déjà tombé et le vent glaciale se levait déjà. Il y avait un champ de coquelicot rayonnant sous la lumière de la lune, lui donnant une teintée bleueté. C'était beau à voir, franchement, je sortis mon portable pour immortalisé quand celui-ci sonna pile à ce moment. C'était Makoto. Je n'osais lui répondre... Que voulait-elle au juste... J'attendis qu'elle raccroche pour prendre la photo puis j'teignis mon portable. Demain, le face à face aura lieu, comme la dernière heure d'un condamné à mort... J'avançais dans l'obscurité éclaircie par la plus belle des lumières naturelle au monde et par la douceur glacée du vent qui faisait virevolter ma jupe trop courte à mon goût. Je fermais les yeux et respira la bonne odeur qui s'incruster peu à peu dans mes narines. Bonne odeur? En pleine campagne? Je rouvrais mes yeux et reniflais l'air, tel un chien. Ma fierté en prend un coup mais... quelle odeur! Je me sentais perdre pied peu à peu, mes yeux devinrent de plus en plus clair pour finirent par être complétement blanc. Je suivais l'odeur à l'instinct et me mena à quelques mètres d'un homme aux long cheveux rouge et une tronçonneuse électrique à la main maculé de sang. Je fixais la tronçonneuse tout en marchant vers lui, l'odeur m'enivrant de plus en plus et la douleur dans mon dos se fit plus intense.

Il marchait tranquillement , délaissant l'endroit de l'extinction d'une vie, parfaite, aussi belle que bruyante , magnifique la façon dont la femme s'était tordue dans tout les sens pour échapper a la douleur, la personne aveit vraiment souffert , s'en était jouissif mais, dans se panneau d'une somptueuse beautée , une odeur néfaste se présentat a ses narines...Une jeune damoiselle se trouvait là.

D'un bond, il se retrouva assis sur une branche d'un arbre la regardant , éxaminant chacun de ses mouvements pour une humaine elle n'était pas comme les autres, légérement sur ses gardes, il se mit a contempler les alentours au moin elle était seule, pas avec l'une de ses innombrable animal de compagnie ou l'une de ses prétendue amies.

Ça le répugnait, toute sa belle mise en scène avait été gaché, bien sur il aurait pus passer sa frustration sur cette filette mais, elle n'était pas assez appétissantes a son goût , et aurait gacher de plus la somptueuse image de l'homicide, le goût de la peur il la revoyait , tout comme le goût de son sang dans sa bouche ... C'était vraiment....bon.

Quel beau tableau s'affichait devant ses yeux , la jeune femme, dessiner sur son tableau ,lui même sur son trépieds , venait de s'ajouter à la base de son oeuvre , il aimait mélanger sang et peinture , comme si c'était une indispensabilité auquel il ne pouvait se passer, et il devais avouer que la scène devant lui était plus que magnifique et somptueuse, il se lèchait les lèvres légérement , il fallait dire que les magnifique ailes de la jeune femmes était d'une compléxité rare , et ce défi l'amusait au plus haut point.

Bien que figé dans le temps , la scène semblait se dérouler encore et encore sur son tableau , la lame traversant les chaires de la jeune femme puis la seconde qui, sans pitiée , lui écartait machoires et boyaux dans un diner peu scrupuleux des manières anglaises , il aimait beaucoup ce qu'il voyait , s'en était presque jouissif et cela lui plaisait.

Il leva le nez , une odeur peu dérangeante se mélait a l'odeur du sang , celui des lilas en fleur, c'était presque parfait, il ne manquait plus que de pouvoir percevoir le regard de cette jeune dame ailée, juste ça et la scène aurait été d'une atrocitée folle, mieux qu'un baiser langoureux avec l'un de ses amants... alors qu'il le griffait a sang, d'ailleur ,n'est-ce pas pour rien qu'il avait le dos bander ?

Il jouat avec son collier quelques instants observant la scène quelques peu nerveux , deux petites ailes défaites d'un corps , se terminant par une rose chacune ,et entre les deux , une épée les reliant , joli cadeau d'une dame , il aimait prendre quelques chose a ses victimes , sans jamais laisser aucune traces qui aurait pus le faire découvrir.

Il l'avait vu arrier pourtant aussi éffroyable qu'avait été son geste , il était rester à la contempler , et aussi insoucieux qu'il était , il n'avait pas pensé à se reculer , battre en retraite ou même s'éloigner et observer la scene de plus loin , il la regardait , lentement , aspirant les boyaux comme un insecte aspirant les organes internes d'un autre...

D'une certaine manière, elle lui rappellait les manières anthropophages où la personne dévorant l'autre pour accroire sa puissance, quoique là elle aurait plutôt acquis de sa faiblesse...Quoi qu'il en fût , la jeune personne se rapprocha dangeureusement de la où il avait émit sa sentinelle, et bien que tout sens en alerte , il ne la sentit arrivée qu'avec quelques secondes de retard, qui l'avait perturbé, la jeune femme était plutôt rapide , mais pas autant que lui , il la vit abattre son point sur l'arbre qui pourtant devait avoir une bonne cinquantaine d'années et l'abattre d'un coup , là il était mal , bien que assez doué de ses mains il n'avait pas la force de se battre contre elle surtout avec la force phénoménale qu'elle avait , quand il sentit que l'arbre commençait à tomber , il avait sauté pour se retrouver à une bonne cinquantaine de mètres de là... la regardant , analysant rapidement la situation , aux grand non,il ne lui servirait à rien de l'attaquer de front... elle était bien trop forte pour lui...
De plus ne connaissant que très peu de ses capacitées autres que sa force surdimentionnée , et ne connaissant surtout , et malencontreusement , pas sa race , à moins d'un miracle , pour la lasser de la traque sanguinaire qui allait se jouer , ou qu'une frappe de massue lui soit tomber sur la tête pour l'enterrer sous terre le temps de lui laisser le temps de repartir , il n'avait a peu près que très peu de chances de se sortir vivant de là...ou tout du moin sans une égratinure, quoique , bien qu'il aimât le sang il ne voulait qu'une chose , le voir ,sur le visage des autres , celui des autres sur le sien et éviter de saigner pour une futilitée pareille.
De plus, il n'était pas au goût du jour de se faire dévorer tout cru par une pseudo humaine aux étranges ailes faites de peau translucide.
Auttrement dit , la chasse était ouverte mais cette fois-ci c'était lui la proie.