Urushi reposait tranquillement chez lui en écoutant du son rockeur en lisant un magazine exposant de nombreuses femmes dénudées. C'est alors que brisant son repose, le téléphone sonna. Il laissa sonner pendant quelques coups, puis se décida à répondre en vu de la détermination du locuteur. Il répondit alors :

- Urushi, chasseur de primes, un problème ?

Une voix assez roque lui répondit soudainement :

- Bonjour monsieur. Cela fait plus de deux mois que les factures de téléphone ne sont plus payées. Le délai est dépassé depuis fort longtemps, nous allons devoir couper la ligne. Je vous laisse jusqu'à demain pour régler la somme, auquel cas je devrais agir en conséquence.

Urushi étonné et stupéfait, il se demanda de quoi parlait cet homme. Il n'avait pas lu une facture de téléphone depuis bien longtemps. Il lui répondit alors :

- Je ne vois pas de quoi tu parles le vieux ! J'ai rien reçu ! :]
- Là n'est pas le problème, dit l'homme. Demain, payez la somme ou vous ne verrez plus le téléphone avant un moment. Cordialement...

Urushi raccrocha soudainement. Il se disa : " Il fait chier ce type, j'ai rien reçu depuis au moins 3 mois ! " Et à ce moment, il regarda la liasse de papier sur son bureau " Merde...". Après des heures et des heures de recherche de la facture, il ne trouva rien. Les nerfs durcissaient, la colère montait. Il piqua une crise de nerf et frappa d'un grand coup de pied l'enceinte à sa droite.

- Fais chier ! Je vais faire un tour...

Il sorta de chez lui et se balada, katana en main, dans les rues de la ville. Après de longues minutes de marche, il arriva dans de bien sombre ruelles sinistres et malsaines. Il fesait noir, le sol était sale, les batiments dégradés. Une odeur d'égout se protesta, il marcha encore, encore, jusqu'à aprecevoir une étrange maisonnette grande en hauteur. L'air se refroidissait, on pouvait apercevoir la lune d'ici. Par remarque, elle était pleine. Méfiant, il se metta en garde, tenant fermement son sabre. En marchant quelques pas, il sentit en présence. Une ombre traina sur la pavillon de cette maison.

Urushi sorta un peu son sabre et s'approcha doucement. Il reconnu de longs cheveux bruns brillants au clair de lune. Aucun doute, ce n'était qu'une femme. Il rangea alors son sabre et s'approcha de plus en plus. Cette femme semblait être dans ses pensées, perdues et atristées. Quelques mètres les sépara, quand tout à coup une aura de déséspoir, de tristesse, et de mort émana du corps de la fille. Un frisson lui parcouru, il lacha légèrement son sabre. Le fourreau à peine blessa le sol, il le rattrapa, et vit la jeune femme se réveiller soudainement. " Elle sort d'où celle-là ? J'ai eu peur ? Non, impossible... " se disa-t-il interieurement. Quand les yeux froids de la femme croisa les siens, il lui dit :

- Jeune demoiselle, que faites-vous là toute seule en pleine nuit dans un endroit aussi lugubre ? *.*

Les pupilles de l’étranger se trouvaient être, pour la première rouge claire et pour la seconde violet. Etonnait, la jeune femme éloigna son champ de vision de façon à voir l’ensemble du personnage.
L’homme lui paru humain. Il faisait une taille identique à la sienne mais restait plus musclé. De visage assez banal, l’inconnu paraissait assez jeune et possédait des cheveux mi-longs et blancs. La coupe lui rappelant l’une de ses vielles connaissance, elle se montra plus clémente envers l’arrivant. Vêtu d’étranges vêtements, l’hybride se demanda un instant d’où il pouvait provenir.
L’humain lui rappelait à certaines contrées autrefois visitées. D’immenses cités et plaines sauvages se dressaient à perte de vue, pendant que les habitants se trouvaient pour la plupart bridée. La jeune femme se souvient avoir particulièrement appréciait ces rencontres et laissa échapper un mince sourire.
Une phrase roque brisa les souvenirs de la guerrière qui revient à la réalité en un simple cillement de sils.

« Jeune demoiselle, que faites-vous là toute seule en pleine nuit dans un endroit aussi lugubre ? »

Il devait être bien téméraire pour oser parler. Ayala pansant depuis toujours que ce genre de comportements étaient des qualités rares et rechercher, elle dénia répondre malgré ses noirs songes.

« Je désenbule dans les rues… en réalité j’étais à la recherche d’un… ami. Elle marqua une courte pose. Et vous ? »

Demanda-t-elle affin d’oublier définitivement le rappel de la mort de ses parents.
Pourquoi ce souvenir furtif et inutile revenaient-ils la hanté !? Enervait par sa propre faiblesse, elle se tut et laissa le vent balayé ses ailes rouges. Le fond de ses prunelles reflétaient la clairetée de la lune, pendant que sa lame sang tirait vers le noir par l’obscurité alentour.
Sa tunique pendait toujours sur ses minces épaules. Un bandage tacheté de sang apparu sous la chemise, mais la vagabonde ne s’en préoccupa nullement. A quoi bon faire attention à ce genre de détails insignifiants… !
Ses mèches brunes, quant à elle, virevoltaient le long de ses épaules et ses lèvres rouges s’amusèrent instinctivement à les attrapés.
Son regard ambré balaya une nouvelle fois l’allée sombre. Parallèlement, sa main gauche caressa, par instinct, la double lame. Quelques silencieuses minutes s’écoulèrent, lorsque l’orpheline entrevit un katana accrochait à l’homme. Comment pouvait-il portait ce genre d’armes !? Depuis son réveil en ‘enfer’ (c’est comme ca qu’Ayala nome cette époque), la jeune femme n’avait pas entrevu la moindre arme. Heureuse de découvrit que d’autres en possédaient, elle songea vite à un assassin.

« Alors vous aussi portez ce genre d’armes… » remarqua-t-elle. « Meurtrier ? » Demanda-t-elle sans ce soucier d’être mal placer pour ce genre de question ou de paraitre indiscrète. Après tout pourquoi ne pas être directe et franche !?

Urushi fût étonné dans un premier temps. Cette femme lui parût étrange. Ces ailes sortant de son dos, ces yeux si profonds, l'hypnotisant pendant quelques temps, avec quelques armes visibles, qui pouvait-elle être ? Il remarqua alors quelques ustensile de combat sous ses vetements, était-ce une guèrriere ? Etait-ce une humaine ? C'est alors qu'un mince sourire apparut sur le visage de la jeune femme, à quoi pouvait-elle penser ? Passer de la tristesse à la joie, était-ce possible si vivement ? C'est alors qu'elle se mit à lui répondre...

" Je désenbule dans les rues… en réalité j’étais à la recherche d’un… ami. "

Elle s'arreta, à penser quelque chose. Puis elle reprit en lui posant la même question, avec un regarde plus doux et innofensif que tout à l'heure. Ses yeux l'absorba de nouveau dans un silence téméraire. Quelque chose lui sembla suspect... Une aura étrange se forma autour de cette femme, une aura inhumaine. Une odeur de sang lui parvenu à lui, elle n'avait pas non plus les mains propres. D'apparence douce, d'aura meurtrière, quelque chose ne tournait pas dans le bon sens. Après quelques minutes de silence, il sentit autre chose émanant de cette femme. Elle donnait l'impression de tout connaitre, d'avoir vécue bon nombre d'année, comparé à lui. Pourtant elle était plus jeune que lui, comment alors ? Cette pause reflexion s'écourta à la voix de la femme :

" Alors vous aussi portez ce genre d’armes… Meurtrier ? "

A cet instant, elle commenca à se méfier un peu. Elle avait un air nostalgique, pourquoi ca ? Urushi fût énormément intrigué par cette femme, ne sachant si elle est humaine ou pas, ne connaissant ni ses intentions et ni ses convictions. Douce mais meurtrière, chacherait-elle son jeu ? Une seule façn de la savoir. Urushi arrêta de reflechir.

" Ouais, je suis un meurtrier si tu le veux. Urushi, chasseur de prime. Je tue sous contrat, une sorte de mercenaire. Mais dîtes-moi, vous n'avez pas l'air d'avoir un passé plus saint que le mien, je me trompe ? "

Il ne voulut pas s'arreter là, il voulut savoir qui était cette femme, pourquoi était-elle là, d'où vient-elle...

" Ses ailes... vous n'êtes pas humaine, non ? " dit Urushi d'un aire intrigué.

Urushi fût de nouveau intrigué, la femme serait un ange et un vampire. Est-ce que cela pouvait vraiment exister ?

Urushi s'est fait souvent caractériser de démon. Il tua sans remord tout ce que l'on disait de tuer. Il empocha l'argent sans se soucier si cela était bon ou mauvais. Il a tué bon nombre de créatures animalières et humaines. Passant par des bandits, assassins, vagabonds, escrocs. Il lui arrivait de tuer des gens qui n'avait commis un nombre restreint de pêché. Les habitants commencèrent à ressentir la peur, la peur d'être tuer à leur tour. Ces habitants se regroupèrent, et étant nombreux, puissent oser l'insulter de démon. Les samourais le craignaient, mais voulurent sa peau également. Il passa pour un démon.

C'est alors que aujourd'hui, il rencontra dans un coin malsain, un être se nommant un ange, tout le contraire de Urushi. Pourtant, l'ange lui répondit également qu'elle est un vampire et meurtrière également. Un ange aussi démoniaque ? Il réalisa la chose suivante : personne ne serait alors à l'abri de pêchés. La seule différence, le nombre. Si un être ayant beaucoup de pêché est appelé démon, qu'est-ce qu'un ange alors ? Tout ceci fût confus pour Urushi.

Tout à coup, Urushi souria. Un ange, un vampire, un assassin, tout ceci fut tellement absurde et incroyable, qu'il en ria. Il se posa la question : "Est-ce fort ce genre de créature ?". Il eut envie de savoir cela. Un ange déchu contre un démon humain, un combat horrifiant mais excitant ! Une lueur traversa ses yeux. Il n'arriva pas à le croire, cela fait des années, des années qu'il attendait cela. Serait-ce : le réveil du démon ? Son oeil rouge brilla intensément, il afficha un sourire diabolique, ses mains lui démangea, il avait envi de dégainer son sabre. Il leva la tête et regarda dans les yeux la femme ! Mais elle souria joyeusement de façon innocente. Il se doute qu'elle ne serait pas motivé à se battre, alors il alla la questionner.

- Ouais... ouais ! Si je peux me permettre, vous êtes un ange déchu, c'est bien ça ? Vous aussi vous n'avez vécu que par le combat, le meurtre et le sang ? Tsss... ahah... ahah... ahahahahahahahah ! ria Urushi de façon démoniaque.

Il la regarda alors d'un regard d'excité avec son oeil rouge plus brillant que jamais, un sourire plus grand laissant ses canines apparaitre montrant des dents comparables à un démon. Urushi se laissa alors emporté par son sentiment si refoulé :

- Êtes-vous si puissante que ça ?! >=D

Ayala resta attentive aux paroles de l'homme. il visait juste, elle avait pour la plupart du temps vécu du combat et du meurtre...
Oui elle le savait, elle ne devait sa survie qu'au détriment de nombreuses vies ! Néanmoins, si cette idée répugnait sa personnalité 'sympathique', l'originel (première personnalité) restait de marbre à l'horreur. Elle avait fait le choix d’évoluer dans ce monde de braises ardentes et sans pitié, elle s'y teindrait donc !


- FLASH BACK -

Un ange attendait devant un porche les bras croiser. Trois écoliers et leur institutrice de la même race se trouvaient à l’arrière. Une enfant à la peau mate, aux cheveux ondulés et bruns, et aux yeux ambres, se trouvaient à genoux devant l’homme. « Petite ! Viens ici ! L’homme de grande taille et aux doigts fins lui attrapa l’oreille et la souleva dans les airs. Ou étais-tu !?
La pauvre enfant pendait au-dessus du sol au bras du ‘chef’, remuant son petit corps frêle et sens défense.
- excuser moi maitre… je ne voulais pas mais… c’est eux… gémit-elle en désignant les 3 enfants anges.
- et bien quoi eux !? Crois-tu que je t’offre une éducation pour te battre avec des ‘pures’ et te sauver lâchement ! Hurla t il sur la fillette apeurer.
- non. Bien sur maitre. Il la lâcha. Mais… ils ont insulté mes parents et… ajouta t elle avec un regard crépitent plus que suppliant.
- Pauvre imbécile ! Je te l’ai pourtant dis ! Ton n’existence même est un pêcher ! il est donc normal que tous vous blâment, toi et tes imbéciles de géniteurs…
- Je ne vois pas pourquoi ! Les vampires ne sont pas aussi bête que vous le pensez ! S’écria l’enfant pleine de haine et de colère envers les meurtriers des siens.
- Ah vraiment… mais dans ce cas va donc les rejoindre… à moins que tu aies peur de leur rejet… à eux tes chers petits suceurs de sang… le ton du haut et angélique était cruel et froid et dans sa bouche un simple mot pouvait se transformer en la pire des insultes. Ayant toujours hais ses ennemis, le maitre des lieux était malveillant et moqueur. En réalité, l’homme ne pouvait supportait ne voir cette demi lui tenir tête. Elle qui lui rappelait tant sa traitre de femme. Oui il l’avait aimé. Mais elle l’avait trahi ! Un monstrueux sourire se dessina sur ses lèvres au souvenir du cadavre de cette femme souiller.
- Un jour je le ferais ! et alors vous verrez…
Ce regard… hargneux, révolté, entêter… celui de cette ange déchu ayant trahit son peuple… sa mère...
- et que verrais-je… !? Ne pouvant en supporter d’avantage, l’homme baffa sa jeune esclave qui tomba à terre. Mais aucun pleures n’apparurent … car cela faisait bien longtemps que cette enfant… Ayala… n’avait pas versé la moindre larme… sache que si tu fais le choix de me défier, alors tu connaitras l'horreur de la guerre ! Tu seras poursuivit et damné, la souffrance sera ton quotidien et tes mains seront parsemaient de sang... à leurs images tes ailes prendront la couleur des enfers et seul tu vivras pour toujours, car tu seras devenu un véritable monstre portait par ce pittoresque monde... il se tut un instant pour toisait la petite effronté. Maintenant silence et rentre !» Hurla t il une dernière fois avant de partit, la fillette sur ses talons.

- FIN DU FLASH BACK -


Une aura combative se dégagea alors de l'humain. L’excitation meurtrière planait autour de lui et gagna vite la jeune femme. Après avoir rit quelques minutes, il sembla la provoquer en lui demandant si elle était réellement forte.

"Tout est relatif..." répondit-elle en se relevant un étrange sourire toujours au lèvres.

S’appuyant sur sa gambe repliait, il ne lui fallut qu'une enjamber pour arrivait à quelques centimètres de l'inconnu. Les deux être se trouvaient désormais nez à nez. Le regard perfide de la guerrière tira vers le rouge, couleur de sang qu'elle abordait lors de ses combats.
Dégainant sa double lame, elle la laissa toute fois en arrière. du moins pour le moment...

"Un combat contre une jeune damné d'une vingtaine d'années vous tenterez vous ?"
Elle se tut un instant. Elle souhaitait que chacune de ses paroles pénètre le samouraï. Plongeant également des pupilles dans les siennes, elle y lut la haine et la détermination. Une irrésistible envie de le provoquer à son tour envahit alors l'hybride.
"Mais sachez toute fois que ces années ne sont qu'apparence... vous semblez être un dure à cuire fonçant tête baisser..."

Laissant ses paroles en suspension, elle ne put retenir un large sourire sarcastique. Quel serait la réaction de l'homme ?
L’adrénaline ne cessant de monter, la jeune femme espéra de tout cœur ne pas laisser sortir sa seconde part... (seconde perso.)
Sa cape virevoltait autour d'elle pendant que ses ailes s'emportaient au grès du vent. Quelques plumes sangs et or parsemèrent la ruelle et les mèches brunes voilèrent le visage fin de la femme. son regard rougit de défit se marier parfaitement aux lèvres couleur du feu de cette vagabonde, qui se trouvait désormais envahit d'une grande joie autrefois perdu, mais aujourd’hui retrouvait...

La femme s'approcha de Urushi. Ils se regardaient dans les yeux, avec chacun une forte envie de se battre. Un sourire tout aussi heureux sortait de la bouche de la femme. Elle sorta un peu sa lame. Elle su lire dans les pensées de Urushi, un combat. Elle le provoqua un peu en lui disant qu'un écart de niveau est là. En temps normal, Urushi aurait peut être vu la puissance si différente de la sienne. Mais l'excitation brouilla toute reflexion, il ne pensa qu'au contact de la lame. Il se mit à marcher quelques pas en répondant :

- Tsss... tu sais, tuer des gens sans regret, ce n'est pas facile. Enfoncer sa lame dans le coeur battant si vivement, une plaie s'ouvrant laissant couler un liquide rouge si chaud sur les mains de l'opposant, que dire de ça. C'est tellement agréable ! Oui, très agréable ! C'est du bonheur ! Tu veux que je te dise un truc ? posa Urushi à la femme, n'attendant aucune réponse. Il s'arreta et lui adressa un regard franc en affichant un sourire. Ce contact des lames, l'affrontement de deux adversaires defiant chacun leurs convictions, c'est ça, ma raison de vivre !!

Urushi afficha un sourire autant démoniaque que tout à l'heure. Il recula de quelques pats en arrière. Il empoigna son fourreau de la main gauche et dégaina son sabre de la maine droite. Il pointa son sabre en avant et annonça :

- Très bien ! On va voir qui de nous deux est le plus fort ! En temps normal je ne frappe jamais une femme, mais je ne sais pas vraiment ce que tu es, alors je m'en fous un peu. Très bien ma p'tite, on va voir de quoi tu es capable !

Il empoigna son sabre de la main gauche également et se mit en posture de combat.

- Approche !

Urushi afficha le même regard et sourire, il était determiné ! Son coeur battait rapidement, il ne reflechissait plus. Plus qu'une chose compter à ses yeux : prendre un maximum de plaisir dans ce combat !

Urushi ne s'était pas trompé, cette guerrière semblait vraiment forte. Les mouvements de sa lame en reculant de ce bond, une telle précision, ce n'est pas un simple fantassin qui en serait capable. Sa lame évoquait d'anciens combats, plusieurs combats. Le sang datait de bien longtemps, son premier combat devait dater de beucoups d'années, valorisant son être.

Trève de reflexion et de spéculation, son opposante attendait le premier coup. Il est temps pour Urushi de tester la guerrière angélique.

- Je te préviens, je risque d'y aller fort, je ne garantie pas que tu restes en vie !

Sur ces mots, il courra quelques pas pour se raprocher de la femme. Empoignant son sabre de la main droite, fesant un tour preque complet sur lui-même en tentant d'infliger un coup de sabre verticale au niveau de la gorge. Son mouvement reste amplement prévisible, mais il employa une grande force dans ce coup. Sera-t-elle évité ce premier coup, prévisible mais puissant ?


[HS : Mes récits vont être plus court maintenant, vu que c'est un combat ^^]

Urushi n'en revenait pas, elle s'était pris le coup de plein fouet volontairement pour porter à son tour un coup, étrange. Elle se déshabilla pour se mettre a l'aise, laissant une tenu très légère apatant facilement les esprits pervers. Urushi admira ses belles formes. Cependant, elle fit un bond et sorta une dague près à l'empoignarder. Urushi fût embeter...

La dague arrivant sur son visage, d'un coup de sabre puissant, il attaque sur cette dague pour la désarmer. De cette attaque, il ne profita pas de lui donner un coup. Il baissa la tête... puis la remonta et répondit :

- Nan mais tu deconnes là ? Je vais pas me battre contre toi comme ça ! t'as vu comment t'es habillé, si je te fous un coup tu te retrouveras nue. Tu en as tellement envie ?

La femme ne sembla pas se soucier de cela, determinée, elle veut se battre. Urushi était mal à l'aise, mais s'il devait y passer, alors il doit l'affronter normalement. Il attrapa son meanteau rouge couleur sang, le retira et le jeta par terre au loin, laissant apparaitre son corps. Un corps, non pas musclé comme un athlète, mais avec un minimum. Il n'était vetue que d'un pantalon noir d'une texture non lourde avec des bottes en cuir. Il resserra son sabre, et pris un regard serieux. L'idée de se battre contre une femme nue l'enchantait pas trop, mais il n'allait pas se défiler !

C'est alors qu'il empoigna son sabre de la main droite, et le mis sur son épaule en biais, donnant un style de décontracté. Il effectua par la suite un mouvement rapide permettant d'apparaitre à une grande vitesse derrière son adversaire. Il se retrouva juste derrière, baissant la tête. Avant que la fille finisse de tourner la tête, il envoya un coups de sabre désignant l'épaule gauche avec une grande vitesse !

- Tu ne devrais pas me sous-estimer fillette !

La femme sourit sournoisement avant de prendre un air perdu, les lèvres entrouvertes et les yeux translucides. Un songe lointain lui revient pour la chassant de la réalité.
Une fillette de moins d’une dizaine d’années, se trouvait coincée dans une ruelle sombre. Un homme de grande taille et musclé la battait en la rendant nue. Ne souhaitant faire de tors à son maitre, l’enfant fit preuve de courage et se tut en se mordant les lèvres.
Laissant de coté sa rancœur, elle chercha dans un long désespoir une arme pouvant la sauver de cette mort sauvage. Elle se trouvait désormais allonger sur le sol glacial. Ses seins contre les dalles avaient abandonné ses épaules et ailes aux coups du guerrier. Alors que tout semblait perdu, que les mèches brunes et poisseuses se confondaient dans une abondante coulée de sang chaud, une lueur d’espoir apparu.
Une lame de cristal venait d’apparaitre à quelques centimètres d’elle. Laissant les interrogations de coté, elle se releva dans un dernier souffle et bondit sur l’objet. L’homme l’attrapa au poigné, mais trop tard… elle venait d’enfoncé et brisait la longue lame dans sa large poitrine.
Instantanément, l’agresseur tomba. Le corps nue reçut de plient fouet le poids de l’autre. leurs visages côte à côte, elle put apercevoir avec effroi, un filet de sang sortir de la bouche béante du damné et ses yeux craquelaient par l’horreur de la mort…

Puis, recrachait vers la réalité, Ayala comprit d’où lui venait cette haine envers tous. Se mordant une fois de plus la lèvre inferieur, elle essaya de revenir à la réalité. Mais trop tard, l’attaquant ayant profitait du moment d’inactivité, elle sentit la douleur se rependre le long de son épaule gauche, pendant que les bandages blanchit prenaient une teinte rougeâtre.
Se retournant avec un regard dément, elle s’entendit insulter de fillette. Folle de rage envers le souvenir de son enfance, elle se retourna dans un rapide mouvement de façon à observer son adversaire désormais torse-nue.

« je te conseille de te tenir à ta réplique…»

Lui bondissant dessus, elle le heurta en pleine poitrine, le faisant ainsi tomber au sol. Profitant de cet instant, elle pointa sa lame rouge sur son torse. Appuyant sous le cœur, elle prit garde de ne toucher les points vitaux mais laissa une fine cicatrice constellait du liquide des vaines.

« Tu es comme tout les autres… » pensa-t-elle à voix haute.
La jeune femme rejetait désormais l’image de son premier meurtre sur l’humain. Ses pupilles identiques à celles des félins laissèrent transparaitre autant de haine que de tristesse enfouie depuis trop longtemps…

Le coup de sabre de Urushi avait belle et bien marché, il laissa une grande cicatrice profonde à le jeune femme. Cependant, oubliant la douleur, elle se jeta sur Urushi et commença à s'énerver. Elle fit une fin cicatrice sur le torse de Urushi, rien de très grave. Il fût tout de même étonné, on dirait qu'il l'avait vexé. Mais ceci ne fait rien à notre cher guerrier. Il attrapa le bras de la fille posé sur son torse et lui dit ces paroles avec un sourire pour annoncer une chose gênante :

- Tu es drôlement entreprenante comme fille ! Si tu voulais faire ça, il fallait le dire plutôt :]

Il fit un bond en arrière pour se libérer de l'emprise de la femme. Le visage de la femme paraissant vraiment contrarié, il profita de cette occasion pour la provoquer encore une fois de plus :

- Bah alors, t'en tire une tronche, je t'ai vexé ? Pauvre petite, je voulais pas voyons :] Ce qui rend un combat si passionnant quelques fois, c'est quand ton adversaire s'énerve pendant que toi tu t'amuses, j'avoue que c'est bien fun ! Allez gamine, fais pas la tronche, sinon je risque de trop aimer le combat au point de te tuer =D

Il attrapa son sabre et fonça sur la fille l'enchaînant de plusieurs coups de sabre à une grande vitesse et une puissance bien présente. La femme se défendit et attaque de la même manière. Le combat prena une tournure différente. Les étincelles de frottement des armes, l'oubli de la douleur dans l'excitation, la sueur qui se transmettait, les humeurs et plaisirs ressentis, ce fût un joyeux combat regardé d'un point de vue spectateur. Une pluie commença à tomber, mais les deux guerriers continuèrent à se battre. Urushi était plus que content, il souriait. Malgré les quelques coups de sabre les touchant, le sang qui s'éparpillait dans l'air, sans le repos de se poser avant d'être découpé par une lame, il ne sentait rien, plus rien. La douleur ? Il s'en fichait, un coup de sabre au bras droit, tranchant un bout du muscles, non il ne sentis rien, l'excitation trop importante, il ne pouvait se soucier de quelques égratignures. Il jouissait de ce combat !

Après deux bonnes minutes d'échanges de sabre, chacun d'eux se donnèrent un violent coup de sabre, évitant légèrement un organe vital. Tous les deux essoufflés, Urushi, qui souriait toujours, et a court de souffle, dit alors :

- T'es pas mauvaise !

L’homme se releva et Ayala réalisa se laissait emporter par la colère de souvenirs enfuies. Soufflant à cette idée, elle sourit pour la première fois sincèrement, et cela malgré les répliques fusantes.

« J’ai en effet de mauvais souvenirs de mon enfance. Néanmoins, je sais désormais que je ne suis plus cette fillette meurtrie et sans défense. Elle attira son sabre vers elle. Le temps ma apportait cette force du combat que j’aime pratiquer… »

Laissant sa phrase en suspension, elle reprit pleinement le combat. Plusieurs minutes s‘écoulèrent ainsi.
Le plaisir du sang et de l’action débordait de ce corps mutilé. Emplit d’énergie nouvelle et d’une soiffe, non meurtrière, mais de combat, elle prit un malin plaisir à ricochaient les coups.
L’étrange compagnon avoua alors qu’elle n’était pas mauvaise.
« Et c’est réciproque… » répondit-elle ors d’alène.

La pluie jusqu'alors invisible, se fit ardente et tempêta sur les deux combattants.
Bien que les cicatrices restaient multiples, l'odeur du sang frais devient froide et lointaine. Certaines étincelles, dut aux frottements des lames, se faisaient plus brillante et chacun se trouvait parfois presque aveuglé par la vive lumière. Très vite, la buée des respirations haletantes apparurent.
pourtant, seule l'excitation du combat persistait encore dans ce noir glacial et zélé du rouge du sang ou d’argent du fer...

Étant donc tous les deux à court de souffle, ils se regardèrent dans les yeux, et sourirent, montrant un plaisir quelconque pour cet affrontement.

Urushi se décida à lui montrer alors l'une de ses techniques secrètes qu'il n'utilisa que pour quelques adversaires. Ces fameuses techniques ne pouvaient être utilisées n'importe comment. Il voulut montrer un peu sa puissance à cette fille.

- Bon, on va voir si tu es aussi forte que ça... prépare-toi !

Il leva ses yeux et fonça sur elle. Son oeil rouge qui brillait intensément, est devenu un peu moins luisant. Par contre, son oeil gauche mauve couleur démon maléfique se metta à briller à son tour. Ce côté luisant, Urushi ne souriait plus tellement il était concentré dans son attaque. Il avait une allure de guerrier puissant, puissant mais réfléchie, avec une stratégie et des techniques derrière la tête. Ses cheveux si blanc mouillés à la pluie ne ripostait pas contre le vent. Il virevoltait en arrière tant le vitesse était élevé. Ses mèches colorées en faisant de même. Les mains agrippées à son sabre, il le leva un peu plus pour frapper un coup. Il frappa en milieu, une attaque prévisible parée de suite par sa compagne. Cependant, sa technique ne s'arrête pas là.

- Tu vas connaître l'origine de mon surnom, le démon. Par la technique que j'ai intitulé "Le Vent insaisissable" !

D'un mouvement rapide, il apparut derrière la guerrière et frappa d'un autre coup de sabre, puis il apparut dans un autre angle et refrappa. Il enchaîna plusieurs coups, cherchant à perdre son adversaire. De plus en plus rapidement, les bruits de frottements de lames se ressentissent. Et soudainement, il disparut quelques secondes de la portée de vision de l'adversaire, la laissant chercher autour d'elle.

- Pas mal, mais insuffisant.

Il fonça sur elle à une distance proche et une vitesse si élevé que le temps de réflexion s'écourtait, laissant les réflexes les plus pertinents triomphés. Il arriva sur elle par le ciel, au dessus de la guerrière presque nue. Son oeil devenait tout mauve et brilla comme il n'a jamais briller. Il leva le sabre à la verticale, et fit d'un mouvement rapide un coup vertical d'une puissance sans égal sur son opposante. Le vent se rassembla dans son sabre, créant un courant si puissant qui suivait la lame. Le vent paraissait tranchant, aiguisé comme une lame, comme si des milliers de sabres faisaient le même mouvement que Urushi. Un coup difficile à parer étant si large, et si puissant qu'il peut s'avérer meurtrier et pouvant trancher le corps opposant s'il ne se défendait pas.

Comment la femme arrivera-t-elle à survivre face à cette techniques, capable de déchirer les muscles et os. Une chose certaine, elle ne restera pas indemne...

La guerrière remarqua un changement dans le regard de son partenaire de combat. Son œil rouge avait prit une teinte plus claire pendant que l'autre se faisait plus ardent. Préparait-il une attaque... ? La réponse se fit d'elle-même. L’homme attaqua vers l'avant. Quelques phrases courtes s'ensuivirent. Il sembla ensuite disparaitre pour réapparaitre au-dessus d'elle. Lui tombant dessus de plein fouet et d'une force inouïe, Ayala ne put que se protégea de ses ailes sang. Elle ne put néanmoins stopper toute l’ampleur de la longue lame qui se figea dans son épaule droite.
La douleur se répandit dans tout son corps. Le sang coulait à flot le long de son bras droit. Retenant un son de douleur, elle vacilla légèrement.
Son regard couleur braise fixa le sol. Elle se trouvait désormais recouverte d'un liquide poisseux lui rappelant la mort. Le chasseur se stoppa un court instant pour reprendre son souffle suite à cette attaque. Profitant donc de ce court répit, elle releva quelque peu son pantalon pour y arrachait un autre bandage blanchâtre. Sa gambe droite se retrouva alors dénuer de bande mais retrouva vite le tissu du vêtement d'origine noir. Enroulant son bras à une vitesse folle, elle bloqua l'hémorragie en arrêtant la circulation de son sang. Ce membre désormais moue venait de devenir un véritable fardeau. Néanmoins, elle refusa de s'avouer vaincu. Dans une grande concentration elle bascula la double lame dans son autre main.
'Qu’elle chance d'être ambidextre' songea-t-elle avant de prendre parole ?

"Esse ton attaque spéciale ? J’avoue être très impressionnait... mais dommage pour toi, tu as oublié mon principal atout... ma race si peu commune !"

Courant de nouveau vers lui, malgré son bras pendent, elle tendit son arme vers l'avant. Une suite de coup jahirent. Des étincelles or virevoltèrent pendant que la jeune femme prenait du terrain sur son adversaire. Le faisait de plus en plus reculer, elle arrêta son premier manège affin dans commencer un second. Lui tournant autour, elle continua de le martelait de coups. Devant sans cesse se retournait, l'humain perdit peu à peu tout sens. Profitant de son désarmement temporaire elle s’approcha de lui. Se stoppant à quelques millimètres de son visage elle lui souffla « à mon tour… ». Puis, lui envoyant un coup dans les gambes elle le fit reculer avant de le voir se heurter à l’un des murs balafrait. Avait-elle frappé si fort ?
Elle n’en savait rien et s’en fichait pertinemment. Quelques morceaux de plâtre étaient tombés sous la collision et l’homme se ravança vers le centre de la rue. Le fixant malicieusement, elle courut vers lui. Des flammes noires sortirent de sa lame et l’aichèrent la bas du torse de l’homme. La lame chaude s’enfonça ensuite dans la chair. Virevoltant derrière lui, elle infligea un second coup au même endroit mais légèrement perpendiculaire au premier.
Désormais muni d’une ‘croix’ sur le torse, la vagabonde ne put juger de la profondeur de la plaie.

Les murs étaient parsemés de sang pendant que les pavés en étaient noyés. Mais la pluie, toujours aussi abondante, dissipait quelque peu la couleur pourpre. Le restant de vêtement ou bandages des deux êtres avaient revêtis une teinte rougeâtre. L’eau battante les martelait et rendait leurs vues obscures.
Refermant ses minces paupières, la jeune femme laissa échappait tous ses sens. Ainsi, elle se trouvait ‘aveugle’ mais pouvait ressentir tout mouvement. Elle se tenait prête à toute réplique combative et n’aurais aucun mal à renvoyer la prochaine attaque. Mais qu’en serait-il des prochaines… ?

Ayant frappé à grand coup, la femme ne l'échappa, et se retrouva grandement blessée à l'épaule, rendant son bras inutilisable. Urushi fût surpassé par cette attaque si exténuante. Il s'appuya sur son sabre pour souffler quelques secondes. La femme accablée de douleurs, elle se releva quand même, poussant ces limites afin de lui infliger de sérieux dégâts. Urushi faisait de grand yeux, malgré tant de souffrances, elle se relevait si activement. "Ce n'est pas une humaine cette gonzesse !" se dit-il.

Il arracha son sabre du sol pour se mettre en garde, mais la femme se mit à tourner autour de lui à une vitesse ahurissante. Il chercha l'endroit où elle pourrait frapper. Perdu par les évènements, elle arriva près de lui en lui chuchotant des mots disant que sa prochaine attaque serait dévastatrice. Urushi serra les dents puis resta attentif. La femme frappa d'un coup et Urushi s'écrasa contre le mur. " Putain, elle a de la force la gamine ! ". En se disant cela, il se relava puis faisait quelques pas en avant. Il vit des flammes du noirceur ardente sortir de sa lame. Elle lui infligea un coup en forme de croix sur son torse. Il a tenté de se protéger un maximum, mais il s'est pris la majeur partie de l'attaque. Le sang vola, éclata et s'éparpilla dans la rue.

- Argh ! gémit Urushi. Salope va, tu vas voir... argh ! Quelle force, quelle technique, tu n'es vraiment pas mauvaise !

Malgré la douleur, il sourit alors à la fille. Ses yeux redevenus normaux, son oeil rouge reprenait une couleur vive et puissante. Son sourire s'agrandissait, prenant une tournure de démon une fois de plus. Il appuya sa main gauche sur cet oeil, comme si il ressentait une douleur. Il commença à rire diaboliquement. Quelque chose a changé en lui, son être devenait terrifiant. Son oeil gauche se metta à briller également intensément. Au loin, il avait une allure noire dont deux pupilles rouges et mauves brillaient. Il relâcha son bras et rit encore. Ses cheveux trempés, laissant des gouttelettes tombées sur son visage, Urushi devenait encore plus étrange.

- Ahahahah ! Saleté, tu vas voir !! Je vais te tuer !! >=D

Le vent s'agita, puis Urushi redevena normal. Essoufflé, ses yeux redevenaient ternes, son sourire de démon s'évapora, une aura inquiète émanait de lui-même. Il leva un peu la tête, regardant la jeune femme sérieusement.

- Je crois qu'on va s'arrêter là...

Urushi fût dans un premier temps étonné de voir un dragon ici et de voir cet adversaire abandonner de cette façon, mais l'intrigue disparut. Elle s'est excusée de l'avoir méchamment frapper. Cette parole résonnait dans la tête de Urushi. Pour lui, ceci montrait qu'elle compatissait pour lui, si blessé. Urushi n'aimait pas ça, mais il y avait une chose étrange qu'il s'était passée.

Après s'être pris le coup de la femme, Urushi est entré dans une phase où son esprit démoniaque était le plus proche. Il ne se contrôlait plus, d'où ces insultes. Il se rappela d'un évènement passé...

Il était chasseur de prime toujours, et il devait tuer une cible. Une vraie crapule qui se moquait de tout le monde. C'était un riche guerrier, se vantant sans arrêt. Cet homme avait énervé Urushi qui s'est alors battu avec lui. Mais l'homme n'était pas mauvais, mais surtout un lâche. Il avait des soldats cachés qui une fois l'ordre donné tirer sur Urushi à l'aide de fusils. Urushi qui était gravement blessé, l'homme le ridiculisa en se moquant de lui. Urushi prit une allure de démon, toute sa haine explosa et d'un coup de sabre, trancha l'homme de tel qu'il ne ressemblait plus à un être humain. Ce coup était tellement puissant que les alentours étaient ravagés, même les soldats fussent tuer sous cette attaque alors qu'ils n'étaient pas ciblés. D'un coup de sabre, il avait anéanti tant de monde.

Maintenant, il réalisa que cette force n'était pas forcément bonne. Quand il s'est souvenu de cela durant le combat contre la femme, il a essayé de stopper cet état afin qu'elle ne meurt pas. Il réussi à éviter le massacre. Il se doutait que la femme allait bien se défendre, mais elle ne résisterai peut être pas. S'il poursuivait se combat, il risquait de la tuer. Pendant que la fille souffla, Urushi se posa une question. "Suis-je vraiment humain ?". Voyant les paroles de la fille, il répondit.

- Un guerrier qui ne donne pas le meilleur de soi-même, ce n'est pas un guerrier. Ne t'excuse pas idiote ! Il vaut mieux arrêter le combat, quelque chose cloche en moi, je ne peux courir le risque de te tuer si sauvagement. Mais ne crois pas que tu t'en tires comme ça ! Il la regarda dans les yeux, le dos à moitié tourné devant elle. On poursuivra notre duel dans un autre moment, mais cette fois, je n'aurai aucune pitié, je te tuerai si tu combats trop mal !

Urushi se tourna pour partir, mais il s'arrêta quelques pas pour lui poser une question.

- Si tu veux me trouver, mon studio est ouvert. Au faite, quel est ton nom ?

« Un guerrier qui ne donne pas le meilleur de soi-même, ce n'est pas un guerrier. Ne t'excuse pas idiote ! Il vaut mieux arrêter le combat, quelque chose cloche en moi, je ne peux courir le risque de te tuer si sauvagement. Mais ne crois pas que tu t'en tires comme ça ! Il la regarda dans les yeux, le dos à moitié tourné devant elle. On poursuivra notre duel dans un autre moment, mais cette fois, je n'aurai aucune pitié, je te tuerai si tu combats trop mal ! »

L’homme se tourna pour partir.

relevant le visage, elle sourit une dernière fois.
« ne t’en fais pas il en ira de même pour toi !» elle se tourna à son tour avant d’entendre une nouvelle phrase.
« Si tu veux me trouver, mon studio est ouvert. Au faite, quel est ton nom ? »

qui sait, peut être qu’elle serait un jour amené à le chercher. Laissant de coté cette idée elle répondit dans un simple regard ambré.
« Ayala la bannie… et toi ? quel est le nom de ce corps humain, abritant un jeune démon ? »le ton était doux et Hiro, le petit dragon, fut heureux de constater la normalité de sa maitresse.
Après une courte réponse, chacun parti de son coté. Ou se rendrait l’inconnu ? La guerrière n’en savait rien mais sentait qu’elle serait surement amené à la revoir. Mais pour l’heure, seul le retour chez elle, l’importait réellement.
Levant les bras au ciel, elle murmura.
‘aller ! un nouveau jour m’attend et il est grand temps de rentrée.’
S’éloignant donc, les deux amis arrivèrent vite devant le petit immeuble délabrait.
Entrant, la jeune femme gravit les marche jusqu’à son entre. Une fois arrivait, elle parti s’allonger sur son lit, ou elle s’endormi…

Le jeune femme s'appelait Ayala. Elle lui posa la même question, il lui répondit :

- Tss... je te l'ai dit Ayala ! :] Mon nom est Urushi, chasseur de prime !

Tous les deux sourirent, malgré l'ampleur de leurs blessures. Il termina avec :

- On se reverra Ayala :p

Ils partirent tous les deux, dans une direction opposée. Urushi ne la voyait plus. Il avait bien aimer cette rencontre, mais les douleurs arrivèrent. " Merde, j'ai trop forcé, argh. Foutues blessures ! " se disait-il. Il rentra dans son studio, prenant une bonne douche, sachant que ses blessures ne seraient plus d'ici quelques jours. Il se souviendrait de ce nom, le nom d'une ange déchue, dénommée Ayala.