Courir ainsi, me permettais de me sentir libre. J’oubliais les rêves qui me hantaient la nuit. Du moins, oublier est un grand mot. Jamais mon esprit n’aurait pu se débarrasser de ses images, de ses sensations … De lui. Malgré moi, mes pensées voguèrent vers cet homme. Pouvais-je mettre un nom sur son visage si parfait ? Non, je n’allais jamais y parvenir …
J’aurais aimé ne pas avoir autant d’imagination. Car penser à lui, sans plonger dans la solitude m’étais impossible. Mes frères avait peut-être raison finalement, je m’étais attacher à un être tout droit sortie de mon imagination. Ils avaient donc bien raison de rire de moi. Je ne pouvais pas leur en vouloir, d’avoir les pieds sur terre. Mais les réactions de Tsuki m’inquiétaient. Il semblait réellement apeurer, par les phénomènes étranges qui m’entouraient depuis quelques temps. Comme si, il avait peur de me perdre … Ce qui m’habitais était-il aussi dangereux ? J’essayai d’éloigner cette pensée, ne voulant pas succomber à la panique.

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J’étais prisonnière. Ce corps n’étais pas mien, c’est rêve, se cœur et surtout cette gentillesse. Rien de cela n’appartenait à celle que j’étais véritablement. Cela me frustrait, me répugnais. Étais-je tombé aussi bas, pour ne plus pouvoir posséder un corps ? Combien d’année c’était-il écouler après ma mort ? Le monde que je voyais à travers ses yeux n’était pas le mien. Les humains ne semblaient pas le moins du monde terrifier, marchant sans crainte dans les rues. Le sang, les cris … l’agonie ou étais passé se plaisir ? Ma race craignais t’ils ses mortels ? Trop de questions sans réponse. Ce n’était certainement pas cette humaine, qui allait me fournir des réponses. Si seulement Vladislav étais là …. Alors que je pensai à lui, des images me revenu en tête. Me rappelant le jour avant ma mort.

-Mon amour pour toi est incassable, croit moi Mina, je ne peux vive sans toi.

-Crois-tu, que moi, je peux vive sans toi ?

Je ne me souvenais pas très bien de la raison de cette discutions. Mais je me sentais horriblement mal, avais-je douté de lui ? Non impossible. Je savais qu’il m’aimait, que notre amour allais au-delà de la mort, au-delà d’un simple amour. Jamais je n’aurais pu imaginer ma vie sans lui, il en était une partie. Je sentie ses lèvres se poser, tendrement contre mon front. Ses puissant bras entourèrent mon petit corps de pierre.

-Vladislav, sois prudent … Je t’en pris.

-Je te le promets.

Notre dernier baiser, nos derniers mots. Cela était douloureux comme souvenir. Savoir que je l’avais ainsi abandonné en mourant. Bien que cela l’avais sauvée, il me manquait. Ma raison de vive, ma tendre moitié.

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Alors que je succombais à la panique, un cri de douleur traversa mon crâne. Je du arrêter ma course, tenant ma tête entre mes mains. Mon cœur se serra dans un chagrin qui n’était pas mieux. Mon souffle était court, mon cœur meurtri. Je du rester quelques instants immobile, attendant que la douleur passe. Je me relevai quelques peux tremblante. Je regarde doucement autour de moi, mes pas m’avait conduit près d’un lac. Avais-je vraiment parcouru tout se chemin en courant ? Un magnifique sourire se dessina à mes lèvres. J’étais fière d’avoir parcouru se trajet dans un temps record. J’étirai doucement mes bras au dessus de ma tête. Je relevai doucement le regard, observa le ciel étoilée. Il était temps que je sorte … Cela faisais trop longtemps que je n’avais pas admiré la nuit. Dans un petit soupire, je laissai retomber mes bras. J’étais encore sous le choc, du cri. Jamais je n’avais ressentie tel douleur, pourtant c’étais la mienne. Trop de question, aucune réponse. Je m’approchai d’un pas lent vers l’eau, rendu tout près, je m’accroupis. J'observa pendant un moment mon reflet. Bien que mon visage fut déformer par la peur, j'allais bien ! C'étais rassurant. Je me releva doucement, observant les environ. Tout étais tellement calme.

Il Faisait froid, vous ne sentez donc pas cette morsure dans votre peau, non... Vous humains n'êtes pas comme nous Lycan. La sensibilité des choses, l'ouïe fine, un odorat surdéveloppé, tous sa n'est que des critères de supériorité. Mais vous. Oh oui vous vermine, pensez que l'intelligence est la clé de la supériorité, mais nous Lycan possédons tous, même une intelligence, peut être même supérieure a la votre. Vous ne comprenez rien n'a rien. Vous pensez pouvoir nous abattre aussi facilement mais votre peur vous empêche de bougé. Vous n'êtes rien face a nous.

Le vent soufflé sur la ville, le lac qui se trouvé un peu plus loin du centre était recouvert de nuages gris. c'était la pleine lune aujourd'hui et Karan le savait. Il ne semblait pas vraiment y prêté attention, il semblai faire confiance aux nuages qui recouvrer la planète d'argent. Le jeune Lycan s'était enfui du bar ou il avait tué une jeune femme, le sang était maintenant sec mais l'odeur l'excité de plus en plus. Une seul solution de sent débarrassé, faire un petit tour dans l'eau. C'est ce qu'il fit, il s'approcha du bord en un gigantesque bond, il plongea ses bras ensanglanté dans l'eau glaçai, des frissons parcouru son bras. L'eau presque cristalline devint rosé. Un poisson remonta a la surface, un boue de chair s'était déposé sur l'eau, celui ci le goba en un instant et repartit au fond du lac. Karan crevé la dalle, il n'avait rien mangé depuis la nuit dernière Il fixa longuement le lac avant d'apercevoir une proie, griffe sortit le Lycan pointa de son index la surface de l'eau et frappa. Le poisson argenté fut transperçai, il se débatter du mieux qu'il pouvait avant de succombé entre les griffes du pécheur.

Le Lycan dévora sa proie en toute tranquillité, l'endroit semblé désert, le sang qui dégouliné sur le corps du jeune homme s'écoulé comme une rivière, entre les herbes pour finir sa course dans le lac rouge. L'odeur du sang caché l'odeur d'un etre vivant non loin, Karan ne l'avait pas encore ressentit, trop préoccupé a mangé sa proie. Aprés l'avoir dévorait entièrement y compris les arrettes, le jeune Lycan commença une petit balade nocturne, il repéra l'autre personne après avoir marchait pendant quelque minute seulement. Curieux il partit monté dans un arbre, son agilité l'aida sans encombre. Il resta caché derrière les branches afin de passé inaperçue.

[c'est assez court désolé...]

J’observai le lac, plonger sous un léger brouillard. Il faut dire que je n’avais pas fait attention à la température. Faisait-il aussi froid ? La température n’avait jamais eue un grand effet sur moi, un autre avantage que j’avais hérité. Je soupirai, j’avais compté sur cette nuit de congé, pour profiter de la nature. Le temps était bien contre moi. J’étais loin de me douter qu’un des pires prédateurs ce trouvais à quelques pas de moi. Bien que j’étais une hybride, mes sens n’étais pas aussi développer qu’ils auraient dû l’être. J’étais en quelques sorte, un défaut de ‘’fabrication’’. Mes frères adoraient ce moqué de cela. Penser à eux me redonna le sourire. C’est bien ce qu’il me fallait pour reprendre la route.

Je n’eus pas à parcourir un long chemin, je m’arrêtai net. Une odeur, assez forte, me figea sur place. L’odeur du sang, pas du sang humain, par chance ! Qui sais ce que la chose en moi aurais fait. Je me retournai, m’approchant de nouveau du lac. Des poissons, mort … L’odeur était infecte ! La carcasse ne datais pas de hier … Elle était fraîche ! Qui auraient bien pu manger du poisson crus, un ourse, un renard … Je mordilla ma lèvres du bas, signe que l’inquiétude venais de me gagner. Je savais parfaitement ma position, une faible combattante. J’ignorais comme me défendre, me battre … je savais qu’hurler !!! Je reculai de quelques pas, observant les alentours. Aucun animal s’y trouver, un poids de moins sur mes épaules.

*J’ai l’impression d’être dans un film d’horreur*

Je me maudissais, pourquoi avoir pensée à cela ! J’étais bien l’une des femmes les plus trouillarde de la terre ! Femme, le mot étais vite dit … Pour mon espèce je n’étais qu’une enfant encore ! À cinquante ans … Je n’avais pas vu grand-chose, ni explorer grand domaine. Je ne voulais pas mourir aussi jeune ! Je retournai mes pas, marchant de plus en plus vite, jusqu’à courir. Je ne devais pas trainer dans ce coin, encore moins resté plus longtemps à l’extérieur. Un frisson de peur me traversa le cœur, me gelant de peur. J’arrêtai de nouveau ma course, j’étais certaine d’être partie dans la bonne direction … Je m’étais tromper … Retourner sur mes pas étais bien la dernière chose que je voulais faire. J’observais un moment le ciel … Voler dans un temps aussi frisquet et nuageux n’étais pas l’idée du siècle. Au fond de moi, la chose … m’encouragea à retourner sur mes pas, m’assurant qu’il n’y avait rien. Serais-ce une erreur de l’écouter pour une fois ? Je rebroussa chemin, passant pour la deuxième fois près des poissons … mort … Un second frisson me traversa, j’accéléra le pas, ne voulant pas trainer dans le coin.

[Je suis pas mieux ^^ à court d'inspi à deux heure du matin ><]

La lune eclairait une bonne partit du lac, caché dans un arbre Karan ne serait pas sous son emprise. Le jeune Lycan pouvait se transformé quand t'il voulait mais il n'arrivait pas a se contrôlé quand la lune était présente. Foutue malédiction. Sans vraiment s'avoir pourquoi un calme vraiment pesant s'étendut sur tous le lac, les oiseau c'étaient endormit, les criquet avaient fini leurs chant et les animaux ne voulaient pas se montrer. Ils avaient surement dut sentir l'odeur de Karan. Les Lycans contrairement au humain ou a tous autre races, on une odeur corporelle assez forte se qui ne passe pas inaperçu niveau odorat chez les animaux.

Bref, curieux et joueur Karan voulut s'approcher un peu plus, dans un pas agile et silencieux il s'approcha de la jeune femme et commença la reniflé de loin. Son odeur lui rappelé l'odeur d'une fleur qu'il avait sentit il y'a deja un moment, ne se rapellan pas où le Lycan laissa tombé et s'approcha encore un peu plus. L'odeur un peu amer de la jeune fille fit achoumé le jeune Lycan, a découvert d'un bond immense il sauta dans l'ombre afin de ne pas se faire remarqué. Le vent souffla dans la direction du jeune Lycan, l'odeur de la jeune fille lui arrivant directement dans les narines. L'exitation du sang séché sur son corps lui donna encore plus envie de mangé autre chose, il s'aprocha un peu, la lune était bien caché entre les nuage pas de quoi s'inquièter. Karan s'approcha encore et encore, plus que quelque metre. Plus grand que la jeune fille l'ombre gigantesque du Lycan l'avala, griffes sortit, celui ci s'apreté a la découpé en morceau.

[ pas d'inspit encore déso ><)