16 Septembre .....un jour comme les autres ou la vie sur terre défilée comme toujours s'arrêtant parfois pour certains et débutant pour d'autre. Tous changeait chaque jours, les fleurs éclosent se fermaient sous le vent froid de la nuit qui commençait à tomber sur la ville, se laissant porter par celui ci, elles perdaient parfois leurs si belles pétales donnant à l'air froid du soir une odeur de agréable au humains de passage et une odeur ténébreuse au créature varié à qui le monde avait donné vie... Les arbres géants des forêts, des jardins et des parcs se courbaient sous le souffle agressif que le ciel déversait tous la haut, comme si les anges soufflaient d'un souffle glacial sur les êtres qui peuplaient la terre , leur montrant que eux aussi éprouvaient de la solitude en cette soirée bien silencieuse .... Le paysage était désert ainsi que le ciel d'un noir profond d'où on ne pouvait voir aucune étoiles comme si un rideau de ténèbres cachait les étoiles trop lumineuse peut-être pour ceux de "la bas" ... Seul quelques feuilles sèches et quelques pétales perdus tourbillonnaient dans les airs, transportés par le vent de la nuit.

Tous le monde était repartit dans sa demeure principal pour s'y reposer, se réchauffer et surtout, retrouver leurs proches. Les lieux si peuplé le jour, sous le soleil de plomb que ces humains adorent étaient maintenant aussi désert qu'un cimetière ne se laissant peupler maintenant que par les esprits enchainés et en recherches de leur liberté.... Tout étais devenu si froid, depuis que j'étais arrivé...les gens qui marchaient devant moi sans même m'apercevoir, moi qui depuis l'aube était la, présent dans ces broussailles, caché du soleil tapant et mauvais à mon égard. Je les regardai, eux qui passaient. Ils jouaient, et riaient tout en défilant devant moi. Parfois quand je ne faisais qu'un léger mouvement, j'attirais dès lors l'attention de ces petits humains fragiles et curieux que l'on appel enfant... Ces petites créatures aiment les choses mystérieuses, tous comme moi d'ailleurs...

[... Ah...mince voila que j'ai bougé....la petite fille la bas, elle m'a remarqué je crois....elle se rapproche de moi en trottinant... les humains sont si grand, mais elle, elle est si petite...] elle entrouvrit alors le rideau de feuille qui me cachait depuis maintenant plusieurs heures et à ma vue, elle se mit à sourire...qu'est ce que j'aime les sourire que ces êtres peuvent avoir, c'est un si bon moyen de montrer leur joie... elle avança sa main dans ma direction, sa petite main si fragile, et la posa sur le haut de mon crane, entre mes deux oreilles, et elle se mit à me caresser, doucement, mais étant une "enfant humain" elle ne faisait pas très attention, comme les autres qui m'avaient touchés avant elle... elle appuya un peu trop sur ma tête, cela me fit mal alors je poussa un léger cris que seul moi et quelques semblables animal savent sortir, même si le mien n'était pas si terrifiant que ça, la jeune fille prit peur et repartit en courant vers la grande humaine qui lui avait donnait vie....

[Décidément, je ne saurais jamais faire durer un sourire à leur visage, je ne fais que les effacer....] voila que ces humains repartirent me laissant donc seul, la ou je commençais donc mon histoire, la ou la nuit était tombé et ou le vent faisait redresser les poils qui recouvrait mon corps de chaton...Le soleil était partit depuis longtemps car la Madame la Lune était sortit de son sommeil et elle désirait reprendre place à la place qu'elle occupe, celle ou elle siège, la haut dans les ténèbres de la nuit....elle qui est si éclatante et si belle, je voudrais tant la toucher un jour, et aller me percher sur sa terre pure pour m'y coucher quand celle ci ce présente à nous en berceau....

Je repris alors ma forme originelle si je puis dire, mon apparence qui ressemble à la leur, avec ces bras, ces mains, ces jambes, ces pieds et cette peau sans poile et rose....j'aime beaucoup cette forme car avec elle, les petits humains ne me font pas mal à la tête comme ils le font habituellement... Me voila dans le noir de la nuit, la ou mes yeux peuvent quand même y voir malgré l'obscurité. Mes cheveux volaient au vent se mêlant parfois au déchets que les arbres et les fleurs libéraient sous le souffle des anges, me donnant à respirer une odeur saisissante et froide à mon gout que je trouvait délicieuse et envoutante...

Les magasins qui peuplaient le parc étaient tous clos et abandonnés, les banc étaient vides, les allées étaient pareilles. Soudain, continuant de marcher, j'arrivai à une air de jeux, la ou les petits humains aimaient sourire tous les jours quand je les observais. Pourquoi souriaient-ils toujours? je ne le sais pas.... je me dirigeai alors vers ces choses en métal qui étaient suspendu par deux chaines de même matière quand tout à coup cette chose avança en avant sous mon poids....

aah.....o.o

je ne compris pas ce qu'il se passait, je passait en avant, assis sur la barre de métal quand celle ci retourna en arrière. je me tenu au chaines fermement, et le mouvement continua encore et encore...le vent soufflait sur mon visage blanc, c'était.....amusant....c'est alors que par miracle, il s'afficha sur mon visage, lui que je ne connaissais que de vu, un sourire....

Je continua alors de me balancer ainsi, suspendu à ce manège de fer, les jambes en avant, les mains sur les chaines. Je me balançai, laissant résonner le bruit du vent plus fort dans mes oreilles, me coupant du monde qui m'entourait. Je me balançais, ne touchant jamais le sol de mes pieds....

Le temps c’était arêté dans ce minuscule jardin l’hiver arrivais et la nature commençait a mourir.

« L’automne c’est vraiment qu’elle que chose qui me deprime »

Les feuilles rouge, orange, jaune tombaient des arbres lentement virevoltant dans le vent jusqu’à tomber sur le sol.

Marie-louise ne comprenais vraiment pas comment ce paysage pouvait faire rire les enfants qui jouaient en ce lieu, enfaite elle déprimait tout ses gens etait accompagne d’amis, de parent, elle était seule…
Seule pourtant elle en avait l’habitude mais aujourd’hui elle n’avait plus la force de se battre contre ses sourires, contre tout ses gens heureux, elle en voulait a la terre entière d’être seule

Cela faisait 2 jours qu’elle vagabondait dans se Park a la recherche de je ne sais qui, je ne sais ou.
Le vent luis chatouillant le visage faisant voler ses long cheveux noir et les couleurs des feuilles se mariaient parfaitement aux couleur orange de sont kimono.
Tout a coup elle senti qu’elle que chose se heurter contre elle, elle tourna la tete et vue une petite fille par terre les mains sur la tete.

« Est-ce que ca va ? » demanda Marie-louise

La petite fille leva la tete effrayait et couru aussi vite qu’elle pu en direction de la sortie du park

« j’aurais du m’en douter, les hommes ne changerons jamais envers mon moi et les mien »

Au fond d’elle, elle ressentit tout de même une grande tristesse ne comprenant pas pourquoi les humains agissait comme ca envers elle, certe elle était différente ses yeux rouge, les phénomènes se passant autour d’elle mais ce n’était tout de meme pas une raison pour la hair a ce point.

Ne sachant que faire elle s’assit sur une balançoire et sortie une bouteille de sont sac regardant fixement les enfants jouaient un peu plus loin puis s’endormie assis sur sa balançoire.

Il faisait presque nuit le jardin était calme, tous les enfants était rentrer chez eux cependant une petit bruit grincait dans la nuit

Criiii criii

Marie louise se réveilla en sursaut ne sachant plus ou elle était et ce qu’elle faisait la.
Elle réfléchit une minute et grâce a son mal de tete se souvenu de la bouteille qu’elle avait bu puis tourna la tete en direction du bruit pensant dans sa tete « que peut faire un enfant encore la a cette heure ? »

Mais a sa grande surprise elle ne vis personne sur la balançoire.

« je ne suis tout de meme pas folle cette balançoire ne bouge pas toute seule »

Puis sous la lumière de la lune le visage d'un enfant apparu au yeux de la jeune fille.

« un enfant ? ici ? si tard ? Ma pauvre enfants te voila dans un belle état. »

Marie-louise resta assise sur sa balançoire regardant la lune et en faisant plus attention a l'enfant persuadée que se soie l’une de ses hallucinations.

Tandis que la lune continuait son chemin dans les ténèbres du ciel illuminé par quelques étoiles à présent, qui devaient surement se sentir seules la haut, éloignées chacune de leur sœurs. Le vent soufflait toujours autant dans cet endroit désert ou il se trouvait éclairé par un simple lampadaire qui parfois s'éteignait. Depuis combien de temps était-il la? surement très longtemps en vu de son état de fonctionnement....les yeux de Iruka ce fatigués peu à peu, usés par la lumière trop forte de ce lampadaire qui parfois s'éteignait d'un seul coup, le plongeant ainsi dans l'obscurité la plus total.

C'est lors de l'un de ses noirs indéfinis qu'apparus devant lui une jeune femme, elle était magnifique, ses cheveux long et noir comme les ténèbres volaient dans l'air du vent froid, sa peau blanche semblait briller dans le noir tel le blanc de la neige d'hiver posé sur le parterre déjà froid de la foret au milieu de ses grands arbres terrifiant que la nuit faisait apparaitre sous différentes formes.... Ses yeux étaient d'un rouge sanglant qui lui fit glacer le sang, il la regarda du coin de l'œil, un peu surpris de voir une tel personne dans ce lieu vide de vies, la jeune femme semblait marcher un peu de travers, peut-être avait elle mal à l'une de ses jambes? Voila la première pensée que Iruka eu en la voyant marcher ainsi.

Il resta assis sur sa chaise de métal, se balançant encore et encore, sans toucher le sol jusqu'à ce que la balançoire s'arrêta d'elle même, n'ayant plus d'élan et de vitesse pour avancer encore. Il resta alors sur place, sans bouger, attendant que la balançoire se mette à nouveau à se balancer toute seule ne savant pas que c'est lui qui avait actionné son système de balance, restant statique il regarda la femme qui s'assit à coté de lui sur un autre banc de métal.

"......Bonsoir....*il la regarda, penchant un peu son visage sur le côté et repris*.... Madame..... comment on fait pour que la chaise bouger encore?...éxè"

Il parla alors d'une voix enfantine, ne connaissant pas le nom de cette chose sur laquelle il était assis, attendant sa réponse. Le lampadaire quant à lui continuait de s'éteindre, laissant a présent des noirs plus long qu'avant, comme si la lumière de celui ci disparaissait, ce mourrait pour laisser place au ténèbres complètes....

(c'est un peu court, excuse moi)

"......Bonsoir....*il la regarda, penchant un peu son visage sur le côté et repris*.... Madame..... comment on fait pour que la chaise bouger encore?...éxè"

Il parla alors d'une voix enfantine, attendant sa réponse. Le lampadaire quant à lui continuait de s'éteindre, laissant a présent des noirs plus long qu'avant, comme si la lumière de celui ci disparaissait, ce mourrait pour laisser place au ténèbres complètes....

Marie-louise eu un petit sursaut pensent *une de mes hallucination me parle il faut vraiment que j’arrête de boire en plus voir un enfant en pleine nuit tu devien completement tarée ma pauvre fille*

Mais étant curieuse et n’ayant rien d’autre a faire Marie louise tenta de rentrer en contacte avec ce qu’elle pense etre une de ses hallucination

" une seconde je vais te montrer ! » marie louise se leva de sa balançoire et se dirigea vers celle ou l’enfant était assis « plie te jambe et tien bien les chaines pour ne pas tomber d’accord ? "

Elle ne savait même pas si l’enfant la comprenait vraiment vu son état d’esprit actuelle néanmoins, l’enfant avait l’air de comprendre puisqu’il s’exécuta dasn la minutes qui venait.

Marie-louise remarqua que depuis le début de son apparition l’enfant se débâtait sur la balançoire essayant de tout ses force de décoller mais en vais elle décida donc de l’aider et de le pousser âpres tout elle n’y avait rien a perdre

Elle prit les chaines de la balançoire et commença a le pousser de plus en plus haut, de plus en plus vite, apparemment le garçon aimait ca vu qu’il souriait, c’était la première fois que marie-louise voyais un telle sourire sur le visage d’un enfant

C'est a ce moment la que Marie-louise remarqua comme deux oreilles de chat sur la tete du garcon cependant elle continua de le balancer sans se poser de question apres tout hallucination ou non qu'est ce que cela changeait elle avait la chance de voir un sourire sincère et ca elle en etait sur ce n'était pas elle qui l'a inventé

"est ce que ca ne va pas trop vite est ce que tu veux descendre ?" demanda t'elle

ce garcon pour le moins étrange commençait vraiment a l'intriguait,
d'ou venait il ? que faisait il la a cette heure ? qu'est ce que ses oreilles de chat ?
decidement Marie-louise était vraiment un aimant a créatures et phénomène étrange

Iruka se laissa bercer par le balancement perpétuel de la balançoire. Un large sourire s'afficha sur son visage, cette chose sur laquelle il était assis était une merveille à ses yeux. Aimant tous ce qui est jeux, il venait de faire une magnifique découverte en cette soirée si sombre. Comme quoi un rien peu l'amuser, il suffit de deux chaines et d'une planche de bois ou d'acier pour faire apparaitre à ses lèvres son sourire niai d'où de petits crocs ressortaient. Il ce laissa bercer par la jolie demoiselle qu'il avait rencontré, balançant ses jambes dans le vide, comme s'il voulait monter plus haut et aller plus vite.

La jeune femme le fit doucement accéléré et son sourire s'amplifiait sur son visage. Quelle magnifique sensation que ce courant d'air qui frappait son visage, que cette sensation de s'envoler, et la vue de ce ciel noir et paisible qui semblait presque touchable à chaque nouveau balancements. Il tendit parfois la main, quand la balançoire arriva plus haut qu'avant, essayant de toucher cette boule blanche qui se trouvait la haut et qui scintillait de mille éclats, donnant une magnifique couleur au ciel. Autour d'elle ce trouvait de petites boules, lumineuses elles aussi. Elles étaient par millier! Peut être était ce les enfants de la Grande, comme les petits humains qui étaient filles et fils des grands humains? Qui sait, peut être était ce le cas. En tous cas Iruka, lui, le croyait, et cela le rendait joyeux de les voir ainsi devant lui, ne s'échappant pas comme les humains à sa vue, quand il montait plus haut, se rapprochant d'eux.

Alors le ciel voulait bien de lui? Voila enfin quelqu'un qui le désirait, mais il y avait aussi cette femme qui se trouvait derrière lui, qui donnait de légères et parfois fortes impulsions sur les chaines, de ses mains pour que cette instrument à plaisir puisse se balancer encore et toujours? Peut être était ce la maitresse de cette objet? La Reine de ce lieu? Mais oui bien sur! Sinon comment aurais-je pu expliquer que l'objet en question ne ce soit pas arrêté comme toute à l'heure! Alors peut-être était elle la détentrice du secret de cette chose que les humains nomme balançoire?

Iruka développa une grande admiration à son égard en pensant cela, une si grande personne qu'elle avait bien voulu lui faire don de son savoir sur la machine sur laquelle il était assis! C'est alors qu'elle lui demanda si le balancement de la balançoire n'allait pas trop vite pour lui, ou s'il voulait descendre. Peut être en avait-elle marre de cet acte que ses mains exerçaient sur les chaines? Quel dommage, lui qui adorait cela, sentir le vent, parlait à la lune par ses pensées, à ses enfants aussi....

Le jeune garçon rougit un peu, et se figea comme au départ, attendant que comme avant la machine s'arrête d'elle même. Il dit alors d'une voix faible et un peu hésitante...

"voui...Madame de la machine......"

Il baissa un peu la tête, un peu déçu de ne pouvoir continuer à parler avec la grande boule blanche et ses enfants.