Ce matin d'automne, Hakai se réveilla bien au chaud dans ces couettes. La lucarne au dessus de son lit parraissait un peu gellée. Il regarda l'heure : 8h et card...Ne parvenant pas a se rendormir , il décida de visiter la ville. Il s'habilla en vitesse , mais en prenant précotion d'enfiler un pull. En sortant de chez lui, il peu constater qu'il faisait quand même assez froid. Pressant le pas , il se rendis au "Quartier Branché".

Très peu de gens étaient dehor a cette heure, mais les commerces étaient déjà ouvert. Le ciné ? non, le matin, l'odeur de pop corn donne envie de vomir...Des boutiques , l'annimalerie ...non , il n'avait besoin de rien pour l'instant. Mais alors , il passa devant un café. le "Kôbô Ryûkô" ...

Un café le matin quand on sais que l'on ne pourras pas se rendormir , ce n'est pas une mauvaise idée ...
Hakai rentra donc discretement. Deux jeunes femmes s'y trouvaient : la première parraissait très mûre mais aussi assez fatiguer , elle se reposait une main pour soutenir sa tête appuyer sur la joue , totalement avachi sur le comptoir.
Quant a l'autre, elle avait l'air bien réveiller et passait le balais énergiquement tout en siflotant.

La première , elle , avais des cheveux blancs , des yeux gris mais se présentait plutôt jeune. la vingtaine...

La deuxième avait des grands cheveux blonds et des yeux d'un rouge sang intence . Mais elle avait malgré celà l'air enfantine ...enfin ce n'est pas le bon mot , on vas plutôt dire qu'elle me paraissait innocente.

Je m'approchais doucement et de ma voie la plus simpatique je lanca un grand :

- Bonjour !

C’était le premier jour de travail de Kurenai. Elle était joyeuse comme un petit oiseau qui volait pour la première fois dans le grand ciel bleu. Il était encore tôt, et il n’y avait pas encore de client. Sa patronne, Gabrielle Sound, n’avait pas le moral. Elle était assise au comptoir. Peut être s’agissait-il d’un déboire amoureux. Kurenai ne voulait pas lui poser de questions, histoire de ne pas remuer le couteau dans la plaie. La jeune fille pris le balai et commença à faire le ménage dans la pièce.
Elle était de bonne humeur et sans s’en rendre compte elle se mit à siffloter des airs de chansons.
Quelqu’un entra dans le café, Kurenai se retourna dans la direction d’où venait la voix.

- Bonjour !

*Chic un client !*

Gabrielle fit signe à Kurenai de s’occuper du client.
Elle posa son ballais, et vient à la rencontre de celui-ci avec un sourire chaleureux.

- Bonjour, Bienvenue au Kôbô Ryûkô ! Qu’est ce que je vous sers Monsieur ?

Kurenai avait une voix douce et mélodieuse…