Urielle volait dans le ciel nocturne. Bien haut, dans le noir, on ne pouvait l'aperçevoir.
Elle volait depuis plusieurs jours et nuit déjà. Mais c'est à peine si elle commençait à sentir la fatigue. Le vent soufflait faiblement cette nuit là, mais les nuages noirs n'annonçaient rien de bon.
Sa clochette à son baton tinta à nouveau.

Elle était arrivée.

Uriel descendit en piqué, ses aîles repliées, droit vers le sol. Elle déplia ses aîles pour atterir en douceur... Sur le toit d'une église délabrée.
C'était ici qu'elle devrait guider une âme dans la mort.
La jeune femme activa son pouvoir qui lui permettait de passer la matiére et se glissa à travers le toit.

Ses bottes à talon aiguilles touchérent le sol en un faible bruit. Et Uriel se mit à marcher calmement dans l'église.
Des banc en bois, pourris par le temps, des vitraux à moitié disparut ou brisés, de même que des tuiles du toit jonchant le sol çà et là...

Elle arriva devant l'hotel et entendit un faible geignement de douleur. Uriel se dirigea derrière l'hotel et vit, sur le sol, un jeune homme, d'une vingtaine d'années environs, dans une marre de sang, qui continuait de s'aggrandir encore... Dégoulinant le long des marches. Telle sa vie s'écoulant en dehors de lui.

D'aprés elle, ce jeune homme devait avoir été victime d'un vampire un peu trop assoiffé...

Uriel s'accroupit prés du garçon, le fixant de ses yeux de la même couleur que le liquide pourpre sur le sol et sur l'homme.

Un regard terne et dont la vie quittait un peu plus chaque seconde se posa sur la femme.

-...Un...a...ange?...-

Oui, Uriel n'avait pas cachée ses grandes aîles blanches. Et elle ne le faisait presque jamais. Aprés tout, à quoi celà lui servait-elle de cacher ses aîles à des personnes qui de toute façon, mourraient dans les quelques minutes aprés leur rencontre?
Et elle ne se montrait jamais aux autres humains ou créatures. Puis, elle n'avait rien à craindre même... Elle était une archange aprés tout!

Urielle eut un sourire que l'on autait pu qualifier utrement qu'angélique face au jeune homme. C'était sa maniére de rassurer les mourrants. Et elle dit d'une voix douce:

-...Fermez les yeux... Reposez vous... une fois pour toute... Tout ira bien...-

L'homme baissa les paupiéres. Il semblait endormit, mais sa respiration était faible.

Uriel pouvait entendre ses battements de coeur... De plus en plus faibles...

Ce fut le silence.
Il était mort.

Elle se releva et fixa la forme bleutée au dessus d'eux. On aurait dit du brouillard... Et la forme partit d'elle même, vers les cieux.

Uriel n'aurait pas besoin de l'accompagner.

Elle voyait les âmes. Et , parfois, lorsqu'elle étaient tourmentées, elles n'arrivaient plus à partir. Le travail de l'archange consistait à veiller à ce qu'elles reposent en paix, où à les guider lorsqu'elles étaient perdues sur le lieu de leur mort.

Au dehors, la pluie se mit à tomber.

L'ange était à l'abri de l'ondée dans l'église délabrée.

Uriel resta longtemps ainsi, debout prés de l'hotel et du corps sans vie du jeune homme, fixant vers le plafond de l'église, bien que son regard semblait bien plus lointain, ses aîles blanches semblant luire d'une lumiére propre dans l'obscurité.

Elle n'avait pas remarquée qu'elle n'était plus seule...

Marie louise ne savait plus depuis combien de temps elle etait la a contempler le corps étendu par terre entrain de mourir.
une heure ? un jour ? Elle ne savais plus. A vrais dire, elle était tellement passionnées par la beauté de la mort, le sang coulant des plait, les yeux devenant blanc , l'esprit perdu a gémir sans but réelle
C’était un spectacle tellement macabre qu’elle en était hypnotisée, mais soudain qu’elle que chose tomba du plafond et la fit sursauter.

Marie louise se dépêchât de se cacher derrière le banc le plus proche et entrevu la scène.
Un ange était apparu, un ange avec de grande aile blanche qui cachaient sont visage
Mais marie-louise arriva quand même a voir la personne plus nettement.

Il s’agissait d’une femme portant un corset de cuir avec une magnifique rose, refermant le tout avec un cordon noire, un short et des botte talon aiguille eux aussi fait de cuire.
Marie louise ne put s’empêcher de rougir, mais helas ne put s’avancer sous peine d’être repéré
Puis l’ange s’approcha du corps et parla avec le cadavre mais hélas marie louise était trop loins pour entendre
Cependant la tentation était trop forte et marie louise avança

*crac*le banc fit un bruit qui résonna dans toute l’église

Prise de panic, elle se cacha derrière la première chose prés d’elle priant qu’on ne l’est pas entendu

Le bruit résonna sur toute les vielles parois de l'église. Uriel sursaute et se retourna vivement, faisant voler ses cheveux rouges autour de son visage. Son regard balaya l'espace du regard. Rien.
Et le bruit de la pluie continuait de marteler l'air au dehors.

L'archange, sur ses gardes, se mit à marcher lentement dans l'église. Puis finit par trouver...cachée... Une jeune femme.
Vétue d'une longue robe rouge, ses long cheveux d'ébène descendant finement et gracieusement mais se sont ses yeux qui se firent d'abord remarquer chez Uriel: des yeux rouge sang.

L'ange fronça un peu les sourcils, se mettant instictivement en position de défence. Aprés tout, et si c'était une puissante vampire?
L'aura d'archange de Uriel devait se faire sentir dans toute l'église. Mais elle demanda calmement:

-...Qui es tu et que fais tu ici?...- Elle fit un faible mouvement de tête en direction du cadavre et continua : -...es ce toi, qui a oté la vie à cet homme?-

Malgré tout elle restait sur ses gardes... pour le moment...

-...Qui es tu et que fais tu ici?...- l’Ange fit un faible mouvement de tête en direction du cadavre et continua : -...es ce toi, qui a oté la vie à cet homme?-


Malgré tout elle restait sur ses gardes... pour le moment...

Marie-louise se releva en frottant sa robe pour enlever la poussière. Elle regarda tout autours d’elle pour voir si personne n’accompagnait l’Ange qui venait d’apparaitre, d’ailleurs pour qui se prenait t’elle de la tutoyer de la sorte, c’était la première fois qu’elles se rencontraient, elles ne se connaissaient pas et elle osait etre aussi directe avec elle, Marie-louise se froissa.

La lumière avait du mal a passée au travers des vitraux et les bougis brillaient faiblement donnant l’impression a marie-louise de voir flou ce qui lui donnait des vertiges, elle decida tout de meme de s’avançait d’un pas décidé.

*rire* « ah ah ah et meme si je l’avais tuer que comptez vous faire ? Me tuer a mon tour ? Ou mieux appeler vos petit camardes a la rescousse ? Vous êtes vraiment pathétique vous autres avec vos bonne parole ce misérable est allongé la depuis au moins 2 jours a gémir comme un porc mais ce n’est que maintenant que vous arrivez, enfin ca m‘aura tout de mémé bien amusé.»

Marie louise tourne les talons « je ne vous dit pas a bientôt mais adieu »

Marie-louise qui se souciais peut de l’Ange n’attendis pas sa réaction et se dirigea vers la sortie