Matt Solveig

Sujet: Matt Solveig 18.02.14 14:09

SOLVEIG MATT

IDENTITÉ

▬ Nom : Solveig
▬ Prénom : Matt

▬ Origines : Suédoises
▬ Âge & Date de naissance : 87 ans (mais on lui en donne 35)
▬ Sexe : Homme

▬ Habitude(s) / Manie(s) : Ricaner, fumer, tirer trois balles quand il tue quelqu'un
▬ Phobie(s) / Crainte(s) : La pauvreté

▬ Devise : World is mine

▬ Groupe souhaité : Vampire
▬ Métier/Occupation : Trafiquant en tout genre

▬ Rang personnalisé : Très respectable homme d'affaires, connard !

LE PRINCIPAL

CARACTÈREQuand on grandit dans un orphelinat, avec le cadre plus lâche que cela implique par rapport à la surveillance normalement plus constante que l'on serait en droit d'attendre de parents continuellement présents, on développe rapidement certains traits de caractère qui n'iront qu'en s'affinant par la suite, traits qui eux-même sont comme l'ouverture d'une boîte de Pandore et qui mèneront au développement d'autres traits qui se renforceront les uns les autres.

Ainsi, dans le cas du Suédois qui était un petit garçon souhaitant toujours en avoir un peu plus que sa part (un morceau de chocolat en plus, un yaourt en rab, une portion plus grande de frites...), il apprit rapidement à se jouer de ses camarades ou du personnel pour taxer un petit quelque chose. Discrètement, sa main traînait négligemment vers une pile de pains. Ou même parfois y allait au culot, directement, comme s'il était parfaitement sûr de son bon droit. Cela marchait souvent. Après tout, combien de personnes réagissaient-elles réellement quand quelqu'un leur passait devant ?
Évidemment, sa filouterie n'était pas toujours couronnée de succès, surtout quand on avait la maladresse d'un enfant de cinq ans. Parfois, il se faisait prendre sur le fait. On le traitait avec l'indulgence réservée aux enfants qui, nécessairement, ne se rendaient pas compte de ce qu'ils faisaient. L'intelligence vive de Matt pourtant ne marchait pas comme cela, car quand il se faisait prendre, au lieu de faire amende honorable, il apprit à faire sciemment des sourires d'enfants à qui on aurait pu donner le bon Dieu sans confession. C'est ainsi qu'il se rendit compte que certaines dames se laissaient attendrir de la sorte et le laissaient finalement partir. Encore aujourd'hui, notamment sur les esprits plutôt faibles ou naïfs, Matt savait parfaitement que le charme pouvait faire tout le succès d'une opération. L'important était d'obtenir une confiance absolument nécessaire, quitte à poignarder ensuite dans le dos (mais si possible sans même jamais que la personne ne se rendît compte d'avoir été trompée).

Pourtant, il en allait du charme comme du culot : à trop tirer sur la corde, elle finissait par casser. Parfois, le jeune garçon se retrouvait face à un "non" ferme et définitif malgré son sourire et sa bonne bouille. C'est alors qu'il apprit à développer sa dernière arme au sein de l'orphelinat : le mensonge. « Non, je n'ai pas eu de yaourt », « non, je ne suis pas allé dans la remise, d'ailleurs, j'étais dehors avec Jonathan » et ainsi de suite... Assez vite, il comprit que pour qu'un mensonge passât bien, il ne fallait pas seulement nier ce que l'on vous reprochait, il fallait aussi donner/inventer le plus de détails possibles sur l'activité que l'on prétendait avoir réellement fait. Tout aussi rapidement, Matt se rendit compte que le plus difficile dans le mensonge n'était pas tant de l'inventer que de le faire tenir avec tous les mensonges précédents. La cohérence devenait la clef du succès. Et déjà, à ce moment, Matt était devenu un élément perturbateur au sein de l'orphelinat. Dans cet espace clos, on avait fini par trop le connaître. Son charme impliquait d'emblée un mensonge qu'il cachait, son mensonge cachait une filouterie quelconque, et voilà pourquoi il souriait innocemment au surveillant.

Une fois dehors, Matt put à nouveau partir de zéro dans un monde beaucoup plus grand où ses trois armes allaient le servir grandement. Le monde extérieur n'avait néanmoins rien à voir avec l'orphelinat, un milieu où, si les enfants étaient peut-être mal protégés d'eux-même, ils étaient bien protégés des autres. Or, dans la rue, le jeune garçon réalisa rapidement et même dans sa chair que les sourires ne fléchissaient que les honnêtes personnes. La loi, ici, était celle du plus fort et les faibles ne ramassaient que les miettes, quand ils ramassaient quelque chose. Ne jamais penser à l'intérêt de l'autre, sauf si cet intérêt coïncidait avec le sien propre. Ne pas hésiter à abandonner un complice, ne pas reculer devant une tromperie. Être sans scrupule vous permettait d'avoir ce que vous désiriez tout en éliminant ceux qui auraient pu vous faire de l'ombre.
Car dans ce monde-là, la concurrence faisait rage. Certes, les luttes sont plus directes qu'entre grandes compagnies où l'on s'affronte à coup d'OPA inamicales dans des salons feutrés à la moquette épaisse. Là, les poings (au mieux) parlaient d'abord. Cependant, ne requérir qu'à la force brute ne vous permettait pas de monter bien haut. Dans les bandes, celui qui savait bien bander ses muscles était publiquement apprécié mais officieusement méprisé par ceux qui occupaient le rang du dessus. Portait-on une si grande attention que cela aux outils ?

Matt ne voulait pas rester en bas de l'échelon. Depuis tout petit, il en avait toujours voulu plus, et s'il avait compris qu'il valait parfois mieux rester à sa place, rien n'interdisait de penser à l'avenir. De toute manière, cela fonctionnait comme cela dans le monde entier, y compris dans la nature. Avoir un coup d'avance sur ses ennemis, qu'ils fussent au sein de votre bande ou dans les bandes rivales (quand vous aviez réussi à vous hisser à la tête de votre propre groupe). Cela dit, ces gens qui se croyaient bien respectables à la tête de leurs grandes entreprises, n'étaient-ils pas tout aussi calculateurs ?
Matt les connaissait bien, ces canailles. Leur charme se couplait à des belles paroles qui tombaient de leurs lèvres souriantes comme de la bave d'un loup alléché. S'il y avait de l'argent à se faire, ils étaient capables de vous parler avec les mots du cœur dans un langage qui vous faisait vibrer et vous n'aviez plus envie que d'une chose : signer des deux mains et vous laisser ficeler. Ils étaient forts, ces cons. Matt le reconnaissait. Mais il savait apprendre. Lui aussi pouvait petit à petit quitter son langage des rues pour parler comme ces gens de la haute quand la situation l'exigeait. Personne ne l'attacherait comme un trophée de chasse. Il tirerait les ficelles.

Tout cela lui avait permis d'atteindre le succès. Lentement, année après année. Une chose l'entraînant sur une autre. Il avait conscience de sa réussite et c'était là motif de fierté. Jeune, il avait tendance à se voûter sur lui-même mais après chaque petit succès d'estime, après chaque coup réussi, après chaque nouvelle position dans ce monde souterrain et malgré les quelques échecs inévitables desquels il apprit beaucoup, il s'était lentement redressé. Il devenait sans cesse plus sûr de lui, à tel point que désormais, il dégageait d'emblée une espèce d'aura dès qu'il entrait dans une pièce. Son charisme s'était affiné et on comprenait aussi qu'il était devenu le chef non pas parce qu'il avait su placer ses pions et montrer les crocs au bon moment, mais simplement parce qu'il était lui.

PHYSIQUECe n'est pas parce que l'on grandit à l'orphelinat ou dans la rue que l'on finit gringalet. Ce serait même plutôt le contraire car le besoin de s'imposer vous oblige à une culture physique rigoureuse. Ainsi, Matt était du genre, étant petit, à ne pas bouder les épinards, selon la vieille croyance qu'ils étaient bons pour vos muscles.
Le résultat, mais le doit-on vraiment aux épinards ? n'est en tout cas pas décevant. Avec un mètre 83 pour 75 kilos, nous avons affaire à un beau bonhomme, au corps plutôt nerveux et toujours prêt à la défense, mais surtout à l'attaque. D'ailleurs, cette nécessité (ou cette recherche) du combat avait nécessairement fini par se marquer sur sa peau. On ne donnait pas des coups sans en recevoir certains. Cela ne se voyait pas forcément grâce à un peu de chirurgie mais son nez avait été plusieurs fois cassé et sa peau se marquait de plusieurs cicatrices ici et là. Des cicatrices de griffures (trois parallèles dans le dos) ou de balles (là, il y en avait un peu plus dans le dos ou sur le torse). Son bras gauche était lézardé par une marque probablement faite au couteau.
Bien sûr, il y avait les aspects qu'il ne pouvait pas contrôler comme la couleur de ses cheveux par exemple. Elle était ennuyante, pour un Suédois. Un brun, voilà qui sortait de l'ordinaire dans ces pays nordiques, mais un blond aux yeux bleus ! Il avait parfois eu l'occasion de tenter de changer de couleur, allant justement sur le noir. Cela marchait assez bien en Europe du nord mais finalement, quand il commença à évoluer internationalement, il comprit que le blond était encore ce qui charmait le plus. Quel dommage d'ailleurs que sa transformation en vampire lui fit perdre ces fameux yeux bleus pour des yeux devenus rouges.
Matt était loin d'être superficiel gratuitement. La beauté ne l'intéressait pas en tant que fin. En revanche, il savait très bien que malgré toutes les dénégations des bien-pensants, la partie majeure que vous portiez sur une personne se faisait sur son physique, surtout dans les premiers temps.
Alors, quand Matt passait une heure chez un coiffeur pour retrouver sa blondeur naturelle et trouver une coiffure idéale, ce n'était qu'en prévision du numéro de charme qu'il s'apprêterait à faire sur sa nouvelle victime.
Ce charme passait évidemment par les vêtements. Des costumes sur-mesures aux couleurs plutôt visibles comme le rouge, le blanc, le jaune... C'est un mélange de goût mais aussi de m'as-tu-vu. Bien sûr, dans l'intimité, il pouvait se laisser aller à ne porter que des survêtements de sport, surtout qu'ils étaient bien plus pratiques pour courir les rues ou faire du sport... mais dès qu'il s'agissait de se montrer "en majesté", le Suédois tenait à ses costumes et à ses pochettes. Il n'avait pas quitté la rue à force de travail pour continuer de s'habiller comme un prolétaire faisant les soldes dans les grandes surfaces ! L'argent, cela s'étale.

D'ailleurs, cette volonté de s'affirmer se retrouve dans sa démarche : d'emblée, on comprend que l'on a affaire à un homme qui sait où il va et qui doit rarement douter.

HISTOIREC'était avant la Guerre. Une histoire banale, comme il s'en était produit des milliers, des millions de fois depuis la Création. La simple aventure d'une femme couchant à gauche à droite, parfois un peu trop défoncée aux drogues pour bien se rendre compte de l'état dans lequel elle se mettait. Et finalement, un embryon non-voulu qui commença à pousser. Oh, pendant quelques semaines, elle se promit qu'elle allait changer, qu'elle le voulait, cet enfant. Que jamais elle n'avorterait. Mais elle retombait sans cesse dans ses vieux démons jusqu'à ce que les services sociaux s'en mêlassent et choisissent de lui retirer son enfant à peine celui-ci fut-il né. "Pour son bien" disait l'État suédois.
Voire ! Oh, ce n'était pas leur faute à eux, ces fonctionnaires. Mais grandir dans un orphelinat n'était pas la meilleure voie pour devenir quelqu'un de bien. Non pas que ces institutions fussent des écoles du banditisme, mais il était difficile de surveiller tout le monde et de recadrer dès le début un jeune garçon qui commençait à s'imposer aux autres au-delà des règles et qui en voulait toujours plus.

Très tôt donc, Matt pouvait présager du pire. Lançant facilement des bagarres, un problème sérieux avec l'autorité, le goût du défi et de la provocation gratuite, voilà quel genre de garçon il était. Il jugeait que tout cela était d'ailleurs de bonne guerre dans cette vie où il n'avait pas choisi d'être jeté.
Les murs et les grillages de l'orphelinat ne pouvaient pas le retenir. À douze ans, il en eut marre d'être collé pour la septième fois en moins d'un trimestre. Il déjoua la surveillance des éducateurs et disparut. Son fort caractère et son culot l'aidèrent sans problème à survivre dans la rue, grâce à de menus larcins. Graine de délinquant, déjà, même s'il ne s'agissait en fin de compte que de vol à l'arrachée pour des sommes ridiculement minables, ou parfois pour un peu de nourriture. Deux expériences le marquèrent particulièrement, et sa transformation en vampire ne fut peut-être pas la plus marquante et la plus décisive dans la formation de son caractère.

Un jour, il était simplement installé à la terrasse d'un café et prenant une petite collation qu'il payait avec un portefeuille volé il y avait moins d'une heure. Il devait avoir dix-sept ans et avait envie de voir un peu ce que cela faisait d'être comme tous ces gens "riches" et "normaux". Dans le fond, cela n'était pas particulièrement désagréable.
Tout à coup, un homme tomba sur sa table. Il s'agissait d'un serveur qui venait d'être bousculé lourdement par un individu portant un casque de moto et qui avançait parmi les tables avec empressement et violence. Tout alla très vite. L'homme sortit de son blouson de cuir une arme et fit feu sur deux hommes assis à moins de deux mètres de Matt. L'inconnu tira plusieurs fois. Une des deux victimes avait tenté de saisir une arme à sa ceinture mais avait reçu une balle dans le ventre et une autre en pleine tête avant de réussir à complètement dégainer. L'inconnu tourna sur lui-même, pointant son arme sur les autres clients qui étaient pour la plupart tétanisés ou criaient de terreur. Matt, quant à lui, n'était pas immobile en raison de la tétanie mais en raison de la fascination.

L'inconnu repartit, sauta à l'arrière d'une moto qui l'attendait et les deux individus disparurent. Un règlement de compte entre bandes rivales probablement.

Pour Matt, ce fut comme une révélation. Cette expérience lui fit entr'apercevoir un monde qui n'avait rien à voir avec celui de ses petits larcins.

Bien sûr, il ne se métamorphosa pas du jour au lendemain en grand bandit. Mais tous ses efforts se portèrent vers ce monde souterrain fait de ses codes, ses habitudes, son langage... Il voulait l'intégrer... Y faire sa place. Et monter les échelons. Dominer. Prendre enfin sa revanche sur cette vie de merde. Gagner de l'argent. Beaucoup d'argent. Et l'étaler. Car c'était là la seule valeur auquel le monde comprenait quelque chose. La seule valeur qui faisait marcher les gens.

Sa transformation eut lieu moins d'un an plus tard. C'était presque arrivé d'une manière trop bête. Une victime qui ressemblait à tant d'autres pauvres hères rentrant chez eux trop tardivement et qui s'apprêtaient à perdre leur porte-feuilles. Mais celle-ci avait eu l'idée de se défendre. Et surtout, de contre-attaquer violemment. S'en prendre à un vampire originel qui, en guise de punition, choisissait de vous défigurer et de vous faire partager sa condition, n'était peut-être pas la meilleure idée qu'avait eue Matt. Si seulement il avait pu prévoir...! Pour le coup, le Suédois avait eu bien besoin d'un peu de temps pour s'en remettre, avant de percevoir rapidement tout le bien que cette nouvelle situation pouvait lui apporter dans le développement de son "plan de carrière" très personnel. Car il fallait reconnaître quelque chose à Matt : celui d'avoir du flair. Eût-il choisi de suivre la voie légale, il aurait été un redoutable homme d'affaire. Un requin. Un mâle alpha. Il n'avait pas encore trente ans lorsque la Guerre éclata. La Guerre... Les guerres étaient toujours pourvoyeuses d'immenses opportunités. Les fortunes les plus rapides et les plus impressionnantes s'étaient toujours amassées en temps de guerre.
Les États s'effondraient les uns après les autres, les pouvoirs régaliens n'étaient plus assurés, les bandes de hors-la-loi pullulaient et faisaient leur loi, obligeant les honnêtes citoyens à se défendre eux-même ? Matt était là pour fournir aux uns et aux autres les armes. La guerre produisait des millions d'individus traumatisés, prêts à se jeter dans n'importe quel paradis artificiel ? Matt était là pour fournir de quoi planer jusqu'en Jamaïque. Quand la guerre se termina, Matt avait déjà accumulé quelques millions... De quoi avoir les reins solides pour s'attaquer à de nouveaux marchés. Ce fut à ce moment qu'il débarqua à Naniwa. Tout était en ruine et à reconstruire. La corruption, les escroqueries, les plans immobiliers foireux, il n'y avait qu'à se baisser pour ramasser l'oseille, à condition d'en avoir les couilles. Les États ne payaient plus les salaires et les généraux, les colonels, ouvraient grand les portes des armureries à celui qui s'amenait avec une valise bourrée de billets. Voilà de quoi mener le trafic d'armes à un autre niveau.

Il ne fallait pas croire que tout cela fut sans accroc. Matt se retrouva quelques fois enfermé. Maison de correction quand il était adolescent, prison pure et simple quand il devint adulte... Mais il y avait un bon bout de temps qu'il n'avait pas réellement fait de prison... Il était malin. Son commerce n'avait pu prendre son envol que grâce à la confection d'un solide réseau d'indics et d'alliés, contenant même parfois des gens très respectables, et qui pouvaient lui faciliter les guerres qu'il menait parfois dans les rues, lui qui ne reculait pas devant l'extrême violence pour se débarrasser de la concurrence...

ET TOI ?

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Sujet: Re: Matt Solveig 21.02.14 17:52

Pour une fiche normale j'aurais validé tel quel, mais pour un predef comme Matt, je vais devoir te demander un peu plus de rigueur. Notamment développer le caractére. Quand on prend un predef, la fiche sert à voir si on a bien saisi le perso. Alors non, copier-coller la liste des adjectifs de ses défauts/qualités de la fiche du predef, c'est pas acceptable. J'aimerais que tu me fasse un vrai caractère.
Pour les mêmes raisons, étoffer le physique serait pas mal.
Et enfin, je te prierais d'éviter de c/c des phrases de la fiche du predef dans ton histoire. ("Une victime de trop, peut-être ? Un Vampire originel qui, pour se défendre, mordit Matt, lui lacérant la bouche au passage. ") Ca se fait pas vraiment. Et c'est la même chose que pour ce que je t'ai dit à propos du caractère.

Va falloir t'impliquer un peu plus si tu veux le predef parce que là, tu donnes presque l'impression d'avoir c/c la fiche du predef en remplissant viteuf les blancs de sa bio.

Je pense que c'est tout. A toi de faire les modifs.

Sujet: Re: Matt Solveig 22.02.14 7:45

Modifications faites.

Sujet: Re: Matt Solveig 26.02.14 20:06

Validé.

Sujet: Re: Matt Solveig 26.02.14 23:56

Merci.

Sujet: Re: Matt Solveig 05.03.14 14:59

Un Suédois \o/
Re-Bienvenue !

Sujet: Re: Matt Solveig 06.03.14 23:05

(re)merci.

Mais c'est un double-compte.

Sujet: Re: Matt Solveig